Abidjan - L’Université virtuelle de Côte d’Ivoire (UVCI), sise dans la commune de Cocody, s’est dotée d’une plateforme de cours en ligne dont le lancement a fait l’objet d’une cérémonie solennelle, jeudi, en présence de la directrice générale de la recherche et de l’innovation, Pr Pétronille Acray-Zengbey, représentant le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
L’opérationnalisation de cet « outil d’innovation pédagogique » s’inscrit dans la mise en œuvre d’un vaste programme de réformes et de modernisation de l’enseignement supérieur public ivoirien, à travers le projet d’Appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI), mis en œuvre dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D).
Cette plateforme nommée « Cours massifs ouverts à distance » ou de l’anglais « Massive open online courses (MOOC). Elle a pour but, selon les initiateurs, de répondre à la pression démographique estudiantine, de pallier le déficit en infrastructures et d’améliorer la qualité de l’offre de formation en vue de relever le taux d’employabilité des diplômés.
Selon Pr Acray-Zengbey, l’instauration des MOOC dans les universités est une opportunité à saisir pour les acteurs du monde universitaire confrontés à plusieurs difficultés dont la massification. Elle a encouragé les universités à « s’approprier cet outil technologique et à gagner du temps en s’engageant dans le navire de l’innovation ».
Le représentant de l’Ambassadeur de France a lancé un appel aux centres universitaires afin que les MOOC soient intégrés dans les programmes Education du fait de ces avantages.
Un appel qui a reçu un écho favorable auprès des responsables de l’UVCI qui, par la voix de son président Koné Tiénoman, ont fait la promesse de garantir la fiabilité de ladite plateforme appelée à relever de nombreux défis.
Pour se connecter aux MOOC, il faut un ordinateur, ou une tablette ou un smartphone. Déjà, la Côte d’Ivoire enregistre 10 MOOC dans des domaines tels que la communication, la chimie, l’environnement, l’économie, etc à l’actif de sept établissements.
(AIP)
fmo
L’opérationnalisation de cet « outil d’innovation pédagogique » s’inscrit dans la mise en œuvre d’un vaste programme de réformes et de modernisation de l’enseignement supérieur public ivoirien, à travers le projet d’Appui à la modernisation et à la réforme des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE-CI), mis en œuvre dans le cadre du contrat de désendettement et de développement (C2D).
Cette plateforme nommée « Cours massifs ouverts à distance » ou de l’anglais « Massive open online courses (MOOC). Elle a pour but, selon les initiateurs, de répondre à la pression démographique estudiantine, de pallier le déficit en infrastructures et d’améliorer la qualité de l’offre de formation en vue de relever le taux d’employabilité des diplômés.
Selon Pr Acray-Zengbey, l’instauration des MOOC dans les universités est une opportunité à saisir pour les acteurs du monde universitaire confrontés à plusieurs difficultés dont la massification. Elle a encouragé les universités à « s’approprier cet outil technologique et à gagner du temps en s’engageant dans le navire de l’innovation ».
Le représentant de l’Ambassadeur de France a lancé un appel aux centres universitaires afin que les MOOC soient intégrés dans les programmes Education du fait de ces avantages.
Un appel qui a reçu un écho favorable auprès des responsables de l’UVCI qui, par la voix de son président Koné Tiénoman, ont fait la promesse de garantir la fiabilité de ladite plateforme appelée à relever de nombreux défis.
Pour se connecter aux MOOC, il faut un ordinateur, ou une tablette ou un smartphone. Déjà, la Côte d’Ivoire enregistre 10 MOOC dans des domaines tels que la communication, la chimie, l’environnement, l’économie, etc à l’actif de sept établissements.
(AIP)
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