« Nous avons pris attache avec toutes les chancelleries »
Lors de son meeting de clôture, jeudi 13 décembre 2018 au stade municipal de Grand-Bassam, le candidat Georges Philippe Ezaley a fait des observations et donné des conseils aux populations. Ci-dessous de larges extraits de son intervention.
« Mettez vous debout pour rendre un hommage à Kamagaté Adama injustement emprisonné à la Maca. Ce digne fils de Grand-Bassam. Pour lui, dimanche Grand-Bassam doit se lever pour aller voter. Voter pour Kamagaté c’est voter pour Georges Philippe Ezaley, pour que notre frère, notre fils ait raison et qu’il ne reste plus en prison. Gloire, honneur à Kamagaté Adama, conseiller municipal de Grand-Bassam, actuellement à la Maca (…) Quelle mobilisation exceptionnelle pour un jour ouvrable, un jeudi. On avait prévu 4000 chaises, elles sont toutes prises, il y en qui sont debout. Bravo à vous tous et merci encore une fois. Oui, c’est vous populations de Grand-Bassam qui, avez demandé que je me représente encore comme candidat. Vous vous rappelez qu’il y a un an, à l’occasion des vœux de nouvel an, chefs, jeunes, femmes, vous avez tous dans vos discours dit : monsieur le maire, vous avez bien travaillé. Ce que nous vous demandons, c’est de continuer s’il y a encore des élections. C’est vous populations de Grand-Bassam, qui, m’avez mis en mission comme candidat aux élections municipales de 2018 à Grand-Bassam. La jeunesse du Pdci, mon parti, les femmes du Pdci, mon parti, les secrétaires généraux du Pdci, mon parti, également, vous avez dit à l’occasion des vœux, monsieur le délégué, il faut vous représenter, soyez encore candidat. C’est pour vous tous que j’ai accepté cette charge, cette mission et je n’ai pas eu tort, parce qu’effectivement le 13 octobre dernier, les femmes, les jeunes, les chefs, vous avez porté votre choix sur notre liste. Vous nous avez élus avec une majorité extraordinaire, devant des représentants d’organisations indépendantes qui étaient là dans la salle de compilation, des résultats confirmés par des huissiers. Plus de 9000 voix et puis celui qui avait plus de 9000 se retrouve avec 8000 voix et celui qui avait 8000 voix se retrouve avec 9000 voix. Quel scandale. Ce n’est pas moi qu’on a voulu voler, c’est vous, population de Grand-Bassam. Et vous vous êtes levés et je me suis levé avec vous. On n’a pas eu peur. Malgré les obstacles, les menaces, les intimidations, nous sommes restés debout. Nous avons revendiqué notre victoire, nous avons fait un recours, parce que nous sommes légalistes. Et la Chambre administratif avec tous les dossiers, les nôtres, les leurs, les dossiers de la Cei, a conclu que les résultats proclamés, sont de faux résultats. Puisqu’elle a demandé de reprendre les élections. Après avoir annulé, nous avions demandé de recompter, les documents sont là. Mais, ils n’ont pas voulu recalculer. S’ils avaient gagné, croyez-vous qu’on allait reprendre les élections ? La preuve est là, c’est nous qui avons gagné ces élections le dimanche 13 octobre. Je suis encore devant vous, je suis encore candidat (…), on ne va pas s’arrêter, on va aller et dimanche, on va aller reprendre notre victoire. Je suis Georges Philippe Ezaley, vous me connaissez. Je l’ai dit ici, je suis né ici à l’Impérial, j’ai fait mes études ici à l’Epp Bassam 1, au collège, au lycée et ensuite en France et aux Etats-Unis. Je suis Georges Philippe Ezaley, j’aurai pu rester là-bas, je suis revenu me mettre au service de mon pays. J’ai servi mon pays.
Je l’ai dit et je le redis parce qu’il y a d’autres personnes qui ne le savent pas. Une élection locale, c’est la tête de liste, c’est l’équipe, c’est le programme, mais il faut connaitre à qui vous avez affaire. Parce que les gens viennent, vous ne savez pas qui s’est et puis vous aller les suivre. Moi, vous me connaissez. J’ai servi mon pays et sous le président Bédié, j’ai été décoré : chevalier dans l’ordre national, sous le président Gbagbo, j’ai été décoré : officier dans l’ordre national, sous le président Ouattara, j’ai été décoré : commandeur dans l’ordre national. Oui, sois tous les régimes, j‘ai servi mon pays, j’ai servi ma ville. Parce que je suis avec vous depuis plus de 20 ans. Président fondateur du Lions club à Grand-Bassam, président du club de football, mes amis sportifs sont là : l’Uscb. J’ai l’ai emmené de la 3ème division jusqu’ à la 1ère division. On m’a donné le meilleur oscar de dirigeant au niveau de la Fédération ivoirienne de football (Fif) et je suis aujourd’hui, vice-président de la Fif. C’est l’homme Ezaley. J’ai servi mon parti politique, le Pdci, depuis la France ou j’ai adhéré au Pdci à travers le Meeci, dans la région dans laquelle j’étais.
J’ai commencé à la base, à mon retour, cadre, ingénieur, mais j’étais militant simple, président de comité de base, secrétaire de section, membre du grand conseil, membre du Bureau politique, j’ai gravi les échelons depuis la base. Est-ce que je peux laisser le Pdci-Rda aujourd’hui ? C’est ma vie, c’est une partie de moi. Alors, ça fait de moi, un paria parce que simplement, j’ai décidé de conserver l’étiquette du Pdci pour aller à ces élections. Non, j’ai fait une liste d’union sur laquelle, il y a des militants du Pdci, du Rdr, du Fpi, de la société civile. Tous les villages y sont représentés ainsi que toutes les ethnies. Alors, de quoi parle-t-on ? Je ne fais que porter la casquette du Pdci pour aller à ces élections ? Est-ce que c’est un crime ça ? Au contraire, on devrait dire voilà quelqu’un qui a réussi ç fédérer tout le monde, tous les partis politiques, tous les ethnies pour développer sa ville. On devrait je pense, être avec moi, mais pourquoi tout cet acharnement ? J’ai fait quoi de mal ? J’ai été maire, j’ai géré, mais j’ai un bilan. Je vous ai présenté mon bilan qui est très élogieux. Voilà qui a pris la mairie en 2013, en 2015, il a un prix : mécène d’or du meilleur maire, 2016 : prix d’excellence du meilleur élu local décerné par le président de la République de Côte d’Ivoire, 2017 : prix africain du meilleur acteur du développement communal.
Qui dit mieux, c’est un bilan extraordinaire avec beaucoup de choses que nous avons faites ensemble. J’ai un bilan, mais j’ai également un programme qui a été bâti à ma demande par le Bnetd sur financement du Pnud pour faire de Grand-Bassam, une ville durable et smart. Avec des projets extraordinaires, c’est l’homme, c’est l’équipe, c’est le bilan, le projet de société, chers bassamois que vous avez voté le 13 octobre 2018. Il faut recommencer (…) je vous dis merci pour le 13 octobre déjà (…) ; le plus important, c’est ce qui est devant, c’est qu’on puisse travailler ensemble pour développer notre ville. L’argent avait circulé la première fois (…), prenez bouffer, c’est notre argent à tous. Vous n’avez voté pour l’argent, vous avez voté pour Georges Philippe Ezaley (…). On voit des choses extraordinaires en ce moment. Goliath est là, il est installé à Bassam, mais ce qui est plus grave, ce sont les menaces, les intimidations (…).
On a des militants du Pdci qui sont de l’autre côté, on ne les a jamais menacés, ce qui n’est pas le cas pour les militants Rdr qui sont chez nous, qui sont intimidés, qui convoqués et menacés. Les chefs vous diront. Quand ils sont convoqués à des réunions et qu’ils n’y vont pas, on les trouve à la maison et on leur demande des explications (…) n’ayez pas peur. Mais plus grave, ce sont les divisions ethniques qu’on veut nous servir, ce qui n’a pas été le c&as auparavant parce qu’on veut diviser pour mieux régner. On veut opposer Ezaley aux Dioula. Ezaley n’aime pas les Dioula, moi ? Après ce que j’ai fait pour les Dioula depuis des années, comment on peut dire que je n’aime pas les Dioula. C’est de la politique malsaine, on est en train de semer la mauvaise graine dans nos populations, cela est inacceptable. On est en train d’opposer les N’zima aux Abouré comme, hier, alors que nous avons évolué sur ce dossier. Pendant les élections, moi N’zima, j’ai gagné dans tous les villages Abouré, sur ma liste, il y a une dizaine d’Abouré. On interdit la délégation composée d’Abouré de parler à Moossou, mais on est ou ? On cherche à nous diviser et certains de nos chefs n’ont pas bien compris les enjeux. Il ne faut pas céder à cela (…) je suis pour la paix à Grand-Bassam (…). Restons sourds à ces choses là, parce que demain, nous devons continuer ensemble. Mon épouse est Abouré par sa mère, ma petite sœur est marié à un Abouré de Bonoua, alors pourquoi, on cherche à nous diviser. C’est triste, ce genre de politique.
Dimanche allez voter, tuez en vous la peur, allez voter pour confirmer. Nous avons pris attache avec toutes les chancelleries, tout le monde entier sera à Bassam pour voir ce qui va se passer ici, pour être témoin. Soyons vigilant par rapport à tout y compris par rapport à ceux qui organisent ces élections et nous allons être vigilants. Restez dignes parce que Grand-Bassam rime avec la dignité, restez libres parce que la graine de la liberté a été semée ici à Grand-Bassam avec la marche des femmes en 1949. Ne répondez pas aux provocations (…). On va aller voter pour Georges Philippe Ezaley, la force tranquille (…) »
Lors de son meeting de clôture, jeudi 13 décembre 2018 au stade municipal de Grand-Bassam, le candidat Georges Philippe Ezaley a fait des observations et donné des conseils aux populations. Ci-dessous de larges extraits de son intervention.
« Mettez vous debout pour rendre un hommage à Kamagaté Adama injustement emprisonné à la Maca. Ce digne fils de Grand-Bassam. Pour lui, dimanche Grand-Bassam doit se lever pour aller voter. Voter pour Kamagaté c’est voter pour Georges Philippe Ezaley, pour que notre frère, notre fils ait raison et qu’il ne reste plus en prison. Gloire, honneur à Kamagaté Adama, conseiller municipal de Grand-Bassam, actuellement à la Maca (…) Quelle mobilisation exceptionnelle pour un jour ouvrable, un jeudi. On avait prévu 4000 chaises, elles sont toutes prises, il y en qui sont debout. Bravo à vous tous et merci encore une fois. Oui, c’est vous populations de Grand-Bassam qui, avez demandé que je me représente encore comme candidat. Vous vous rappelez qu’il y a un an, à l’occasion des vœux de nouvel an, chefs, jeunes, femmes, vous avez tous dans vos discours dit : monsieur le maire, vous avez bien travaillé. Ce que nous vous demandons, c’est de continuer s’il y a encore des élections. C’est vous populations de Grand-Bassam, qui, m’avez mis en mission comme candidat aux élections municipales de 2018 à Grand-Bassam. La jeunesse du Pdci, mon parti, les femmes du Pdci, mon parti, les secrétaires généraux du Pdci, mon parti, également, vous avez dit à l’occasion des vœux, monsieur le délégué, il faut vous représenter, soyez encore candidat. C’est pour vous tous que j’ai accepté cette charge, cette mission et je n’ai pas eu tort, parce qu’effectivement le 13 octobre dernier, les femmes, les jeunes, les chefs, vous avez porté votre choix sur notre liste. Vous nous avez élus avec une majorité extraordinaire, devant des représentants d’organisations indépendantes qui étaient là dans la salle de compilation, des résultats confirmés par des huissiers. Plus de 9000 voix et puis celui qui avait plus de 9000 se retrouve avec 8000 voix et celui qui avait 8000 voix se retrouve avec 9000 voix. Quel scandale. Ce n’est pas moi qu’on a voulu voler, c’est vous, population de Grand-Bassam. Et vous vous êtes levés et je me suis levé avec vous. On n’a pas eu peur. Malgré les obstacles, les menaces, les intimidations, nous sommes restés debout. Nous avons revendiqué notre victoire, nous avons fait un recours, parce que nous sommes légalistes. Et la Chambre administratif avec tous les dossiers, les nôtres, les leurs, les dossiers de la Cei, a conclu que les résultats proclamés, sont de faux résultats. Puisqu’elle a demandé de reprendre les élections. Après avoir annulé, nous avions demandé de recompter, les documents sont là. Mais, ils n’ont pas voulu recalculer. S’ils avaient gagné, croyez-vous qu’on allait reprendre les élections ? La preuve est là, c’est nous qui avons gagné ces élections le dimanche 13 octobre. Je suis encore devant vous, je suis encore candidat (…), on ne va pas s’arrêter, on va aller et dimanche, on va aller reprendre notre victoire. Je suis Georges Philippe Ezaley, vous me connaissez. Je l’ai dit ici, je suis né ici à l’Impérial, j’ai fait mes études ici à l’Epp Bassam 1, au collège, au lycée et ensuite en France et aux Etats-Unis. Je suis Georges Philippe Ezaley, j’aurai pu rester là-bas, je suis revenu me mettre au service de mon pays. J’ai servi mon pays.
Je l’ai dit et je le redis parce qu’il y a d’autres personnes qui ne le savent pas. Une élection locale, c’est la tête de liste, c’est l’équipe, c’est le programme, mais il faut connaitre à qui vous avez affaire. Parce que les gens viennent, vous ne savez pas qui s’est et puis vous aller les suivre. Moi, vous me connaissez. J’ai servi mon pays et sous le président Bédié, j’ai été décoré : chevalier dans l’ordre national, sous le président Gbagbo, j’ai été décoré : officier dans l’ordre national, sous le président Ouattara, j’ai été décoré : commandeur dans l’ordre national. Oui, sois tous les régimes, j‘ai servi mon pays, j’ai servi ma ville. Parce que je suis avec vous depuis plus de 20 ans. Président fondateur du Lions club à Grand-Bassam, président du club de football, mes amis sportifs sont là : l’Uscb. J’ai l’ai emmené de la 3ème division jusqu’ à la 1ère division. On m’a donné le meilleur oscar de dirigeant au niveau de la Fédération ivoirienne de football (Fif) et je suis aujourd’hui, vice-président de la Fif. C’est l’homme Ezaley. J’ai servi mon parti politique, le Pdci, depuis la France ou j’ai adhéré au Pdci à travers le Meeci, dans la région dans laquelle j’étais.
J’ai commencé à la base, à mon retour, cadre, ingénieur, mais j’étais militant simple, président de comité de base, secrétaire de section, membre du grand conseil, membre du Bureau politique, j’ai gravi les échelons depuis la base. Est-ce que je peux laisser le Pdci-Rda aujourd’hui ? C’est ma vie, c’est une partie de moi. Alors, ça fait de moi, un paria parce que simplement, j’ai décidé de conserver l’étiquette du Pdci pour aller à ces élections. Non, j’ai fait une liste d’union sur laquelle, il y a des militants du Pdci, du Rdr, du Fpi, de la société civile. Tous les villages y sont représentés ainsi que toutes les ethnies. Alors, de quoi parle-t-on ? Je ne fais que porter la casquette du Pdci pour aller à ces élections ? Est-ce que c’est un crime ça ? Au contraire, on devrait dire voilà quelqu’un qui a réussi ç fédérer tout le monde, tous les partis politiques, tous les ethnies pour développer sa ville. On devrait je pense, être avec moi, mais pourquoi tout cet acharnement ? J’ai fait quoi de mal ? J’ai été maire, j’ai géré, mais j’ai un bilan. Je vous ai présenté mon bilan qui est très élogieux. Voilà qui a pris la mairie en 2013, en 2015, il a un prix : mécène d’or du meilleur maire, 2016 : prix d’excellence du meilleur élu local décerné par le président de la République de Côte d’Ivoire, 2017 : prix africain du meilleur acteur du développement communal.
Qui dit mieux, c’est un bilan extraordinaire avec beaucoup de choses que nous avons faites ensemble. J’ai un bilan, mais j’ai également un programme qui a été bâti à ma demande par le Bnetd sur financement du Pnud pour faire de Grand-Bassam, une ville durable et smart. Avec des projets extraordinaires, c’est l’homme, c’est l’équipe, c’est le bilan, le projet de société, chers bassamois que vous avez voté le 13 octobre 2018. Il faut recommencer (…) je vous dis merci pour le 13 octobre déjà (…) ; le plus important, c’est ce qui est devant, c’est qu’on puisse travailler ensemble pour développer notre ville. L’argent avait circulé la première fois (…), prenez bouffer, c’est notre argent à tous. Vous n’avez voté pour l’argent, vous avez voté pour Georges Philippe Ezaley (…). On voit des choses extraordinaires en ce moment. Goliath est là, il est installé à Bassam, mais ce qui est plus grave, ce sont les menaces, les intimidations (…).
On a des militants du Pdci qui sont de l’autre côté, on ne les a jamais menacés, ce qui n’est pas le cas pour les militants Rdr qui sont chez nous, qui sont intimidés, qui convoqués et menacés. Les chefs vous diront. Quand ils sont convoqués à des réunions et qu’ils n’y vont pas, on les trouve à la maison et on leur demande des explications (…) n’ayez pas peur. Mais plus grave, ce sont les divisions ethniques qu’on veut nous servir, ce qui n’a pas été le c&as auparavant parce qu’on veut diviser pour mieux régner. On veut opposer Ezaley aux Dioula. Ezaley n’aime pas les Dioula, moi ? Après ce que j’ai fait pour les Dioula depuis des années, comment on peut dire que je n’aime pas les Dioula. C’est de la politique malsaine, on est en train de semer la mauvaise graine dans nos populations, cela est inacceptable. On est en train d’opposer les N’zima aux Abouré comme, hier, alors que nous avons évolué sur ce dossier. Pendant les élections, moi N’zima, j’ai gagné dans tous les villages Abouré, sur ma liste, il y a une dizaine d’Abouré. On interdit la délégation composée d’Abouré de parler à Moossou, mais on est ou ? On cherche à nous diviser et certains de nos chefs n’ont pas bien compris les enjeux. Il ne faut pas céder à cela (…) je suis pour la paix à Grand-Bassam (…). Restons sourds à ces choses là, parce que demain, nous devons continuer ensemble. Mon épouse est Abouré par sa mère, ma petite sœur est marié à un Abouré de Bonoua, alors pourquoi, on cherche à nous diviser. C’est triste, ce genre de politique.
Dimanche allez voter, tuez en vous la peur, allez voter pour confirmer. Nous avons pris attache avec toutes les chancelleries, tout le monde entier sera à Bassam pour voir ce qui va se passer ici, pour être témoin. Soyons vigilant par rapport à tout y compris par rapport à ceux qui organisent ces élections et nous allons être vigilants. Restez dignes parce que Grand-Bassam rime avec la dignité, restez libres parce que la graine de la liberté a été semée ici à Grand-Bassam avec la marche des femmes en 1949. Ne répondez pas aux provocations (…). On va aller voter pour Georges Philippe Ezaley, la force tranquille (…) »