Philippe Ezaley, le maire sortant de Grand-Bassam, cité balnéaire située à 40 Km au Sud-est d’Abidjan, a dénoncé dimanche, après son vote, « beaucoup de problèmes » et des personnes « empêchées de voter » à l’occasion de l’élection municipale partielle.
« Il y a beaucoup de problèmes par rapport aux électeurs, c’est des choses sur lesquels nous allons peut-être revenir. On nous a signalé quelques personnes qui sont empêchées de venir voter », a dit M. Ezaley, devant des journalistes.
Le maire sortant qui a accompli son droit de vote au Collège moderne de Bassam, aux environs de 12H40 GMT, s’est toutefois dit « confiant » pour le scrutin. Il a en outre dénoncé « un état de siège pratiquement de policiers et militaires dans certaines zones par rapport à d’autres ».
Plusieurs patrouilles de forces de l’ordre étaient visibles dans la ville. Des blindés et des véhicules militaires ont été postés aux encablures des centres de vote pour prévenir tout trouble. Dans le centre où a voté M. Ezaley, des « loubards » ont été éjectés des lieux.
Des problèmes de fonctionnalité de tablettes ont été par ailleurs observés dans certains bureaux de vote. Ouverts à 8h, temps réglementaire, les bureaux de vote devraient fermer à 18h. Le calme le était observé.
La Chambre administrative de la Cour suprême, chargée du contentieux électoral, a ordonné la reprise des élections du 13 octobre 2018 dans deux régions du pays et six communes dont Grand-Bassam. Et ce, suite à des soucis lors du vote.
AP/ls/APA
« Il y a beaucoup de problèmes par rapport aux électeurs, c’est des choses sur lesquels nous allons peut-être revenir. On nous a signalé quelques personnes qui sont empêchées de venir voter », a dit M. Ezaley, devant des journalistes.
Le maire sortant qui a accompli son droit de vote au Collège moderne de Bassam, aux environs de 12H40 GMT, s’est toutefois dit « confiant » pour le scrutin. Il a en outre dénoncé « un état de siège pratiquement de policiers et militaires dans certaines zones par rapport à d’autres ».
Plusieurs patrouilles de forces de l’ordre étaient visibles dans la ville. Des blindés et des véhicules militaires ont été postés aux encablures des centres de vote pour prévenir tout trouble. Dans le centre où a voté M. Ezaley, des « loubards » ont été éjectés des lieux.
Des problèmes de fonctionnalité de tablettes ont été par ailleurs observés dans certains bureaux de vote. Ouverts à 8h, temps réglementaire, les bureaux de vote devraient fermer à 18h. Le calme le était observé.
La Chambre administrative de la Cour suprême, chargée du contentieux électoral, a ordonné la reprise des élections du 13 octobre 2018 dans deux régions du pays et six communes dont Grand-Bassam. Et ce, suite à des soucis lors du vote.
AP/ls/APA