Pour son deuxième concert ce samedi soir au palais des congrès de l’hôtel ivoire, Koffi Olomidé a assuré deux heures de show, pour sceller une réconciliation définitive avec les mélomanes ivoiriens.
C’était l’occasion rêvée pour le patron du quartier latin de présenter des excuses plus officielles devant un parterre de personnalités dont des membres du gouvernement, des directeurs généraux, des présidents d’institutions qui malgré leurs titres n’ont pas hésité à esquisser des pas de danse sur des titres éponymes comme « Loi », « Ikéa », « Efrakata », « Etoile d’Etat » ou encore Selfie (Ekotité).
A 21h déjà la salle refusait du beau monde. Les dernières places sont prises. Les tickets de 20, 25 et 50,000f se sont arrachés comme des petits pains. Plus de 1600 VIP ont répondu à l’appel.
Ce concert était le deuxième de la série dénommée « mea culpa ». En effet, le quadra Koraman recherchait le pardon des ivoiriens après le fâcheux épisode de décembre 2015 ou il a abandonné micro et groupe, en descendant subitement de la scène, parce qu’il serait filmé.
En venant donc à Abidjan, Mopao voulait non seulement mettre fin à son exil mais aussi renouer avec son public ivoirien en lui demandant solennellement pardon.
Après deux concerts, vendredi au palais de la culture et samedi au palais des congrès de l’hôtel ivoire, l’objectif est atteint. Le pardon est obtenu.
« J’ai fait le tour du monde, mais sans la Côte d’Ivoire, c’est dur (…) Je ne vous conseille pas de vivre sans Abidjan » a lancé l’artiste durant son concert sous les cris de joie de ses milliers de fans.
Atapointe
C’était l’occasion rêvée pour le patron du quartier latin de présenter des excuses plus officielles devant un parterre de personnalités dont des membres du gouvernement, des directeurs généraux, des présidents d’institutions qui malgré leurs titres n’ont pas hésité à esquisser des pas de danse sur des titres éponymes comme « Loi », « Ikéa », « Efrakata », « Etoile d’Etat » ou encore Selfie (Ekotité).
A 21h déjà la salle refusait du beau monde. Les dernières places sont prises. Les tickets de 20, 25 et 50,000f se sont arrachés comme des petits pains. Plus de 1600 VIP ont répondu à l’appel.
Ce concert était le deuxième de la série dénommée « mea culpa ». En effet, le quadra Koraman recherchait le pardon des ivoiriens après le fâcheux épisode de décembre 2015 ou il a abandonné micro et groupe, en descendant subitement de la scène, parce qu’il serait filmé.
En venant donc à Abidjan, Mopao voulait non seulement mettre fin à son exil mais aussi renouer avec son public ivoirien en lui demandant solennellement pardon.
Après deux concerts, vendredi au palais de la culture et samedi au palais des congrès de l’hôtel ivoire, l’objectif est atteint. Le pardon est obtenu.
« J’ai fait le tour du monde, mais sans la Côte d’Ivoire, c’est dur (…) Je ne vous conseille pas de vivre sans Abidjan » a lancé l’artiste durant son concert sous les cris de joie de ses milliers de fans.
Atapointe