Dans une déclaration commune, deux syndicats de magistrats ivoiriens dénoncent, entre autres, des « immixtions » du pouvoir exécutif dans l’exercice de leurs fonctions. Le point sur ce qu'ils reprochent au gouvernement du président Alassane Ouattara.
La déclaration est signée de l’Union nationale des magistrats de Côte d’Ivoire (Unamaci, une vieille association regroupant la majorité des magistrats) et de l’Association syndicale de la magistrature (ASM). Ces deux groupements disent constater « une dégradation progressive de leurs conditions morales et psychologiques de travail en raison de violations récurrentes des textes régissant leur corporation, de menaces, d’intimidations et d’immixtions dans l’exercice de leurs fonctions ».
À l’appui de leurs... suite de l'article sur Jeune Afrique
La déclaration est signée de l’Union nationale des magistrats de Côte d’Ivoire (Unamaci, une vieille association regroupant la majorité des magistrats) et de l’Association syndicale de la magistrature (ASM). Ces deux groupements disent constater « une dégradation progressive de leurs conditions morales et psychologiques de travail en raison de violations récurrentes des textes régissant leur corporation, de menaces, d’intimidations et d’immixtions dans l’exercice de leurs fonctions ».
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