Une importante délégation de la plateforme ‘’Action pour la restauration de la dignité humaine’’ (ARDH) conduite par sa présidente Pulcherie Gbalet, était en visite de travail au Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) le lundi 21 janvier 2019.
Cette visite qui intervient au lendemain de la marche annoncée puis annulée de ladite plateforme, avait pour objectif, selon Mlle Pucherie Gbalet, initiatrice du mouvement ‘’Gilets orange’’ d’expliquer aux responsables du CNDH les motivations de leurs actions. Les échanges ont permis à l’ensemble des associations membres de cette plateforme d’exposer ses préoccupations. « La marche ‘’Gilets orange’’ s’est avérée comme l’ultime recours pour nous faire entendre face au silence méprisant des autorités », a-t-elle commenté.
Pour sa part, la présidente Namizata Sangaré, a invité ses hôtes du jour à privilégier la négociation en toutes circonstances : « Il faut toujours chercher à se rapprocher des institutions et à user des mécanismes mis en place par l’Etat qui peuvent vous aider à régler vos problèmes. C’est ce qu’il faut faire. Il faut se détourner de l’incivisme et de la défiance des autorités », a-t-elle conseillé. Au terme des échanges, cette plateforme qui compte plus d’une dizaine d’associations a fait cas des points de revendication d’ordre général relatifs au coût de la vie, aux libertés publiques, et de ses revendications spécifiques qui sont portées par chacun de ses membres.
Cette visite qui intervient au lendemain de la marche annoncée puis annulée de ladite plateforme, avait pour objectif, selon Mlle Pucherie Gbalet, initiatrice du mouvement ‘’Gilets orange’’ d’expliquer aux responsables du CNDH les motivations de leurs actions. Les échanges ont permis à l’ensemble des associations membres de cette plateforme d’exposer ses préoccupations. « La marche ‘’Gilets orange’’ s’est avérée comme l’ultime recours pour nous faire entendre face au silence méprisant des autorités », a-t-elle commenté.
Pour sa part, la présidente Namizata Sangaré, a invité ses hôtes du jour à privilégier la négociation en toutes circonstances : « Il faut toujours chercher à se rapprocher des institutions et à user des mécanismes mis en place par l’Etat qui peuvent vous aider à régler vos problèmes. C’est ce qu’il faut faire. Il faut se détourner de l’incivisme et de la défiance des autorités », a-t-elle conseillé. Au terme des échanges, cette plateforme qui compte plus d’une dizaine d’associations a fait cas des points de revendication d’ordre général relatifs au coût de la vie, aux libertés publiques, et de ses revendications spécifiques qui sont portées par chacun de ses membres.