Abidjan- Le Conseil national des droits de l’homme (CNDHCI) condamne les violences verbales d’acteurs politiques majeurs relayées, ces derniers temps, sur la toile, prévenant qu’elles sont de nature à fragiliser la cohésion sociale et que leurs auteurs sont passibles de poursuites judiciaires.
"Le Conseil note que cette montée de la violence verbale est de nature à fragiliser la cohésion et la paix sociale et à mettre en péril les efforts de réconciliation nationale amorcée depuis quelques années", a déclaré, mercredi, à Abidjan, la présidente du Conseil national des droits de l’homme, Namizata Sangaré.
"Le CNDH condamne cette résurgence de discours de haine et informe les auteurs qu’ils sont passibles de poursuites judiciaires conformément à la loi 2008-222 du 4 août 2008 (…)", prévient Mme Sangaré.
Une frénésie s’est emparée de la toile, ces derniers temps, entretenue par des acteurs politiques qui se lancent régulièrement des piques. Des cadres du Parti démocratiques de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA) et du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) sont à la manœuvre, dans cet échange de bons procédés, depuis la brutale rupture entre ces deux formations politiques.
Le pic, dans ces actes d’inimitié, a été atteint le Week-end écoulé au cours duquel une députée du RHDP, Mariam Traoré, a proféré des injures, via la plateforme sociale Facebook aux femmes du PDCI et spécialement à leur présidente urbaine, Sita Coulibaly.
gak/ask
"Le Conseil note que cette montée de la violence verbale est de nature à fragiliser la cohésion et la paix sociale et à mettre en péril les efforts de réconciliation nationale amorcée depuis quelques années", a déclaré, mercredi, à Abidjan, la présidente du Conseil national des droits de l’homme, Namizata Sangaré.
"Le CNDH condamne cette résurgence de discours de haine et informe les auteurs qu’ils sont passibles de poursuites judiciaires conformément à la loi 2008-222 du 4 août 2008 (…)", prévient Mme Sangaré.
Une frénésie s’est emparée de la toile, ces derniers temps, entretenue par des acteurs politiques qui se lancent régulièrement des piques. Des cadres du Parti démocratiques de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA) et du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) sont à la manœuvre, dans cet échange de bons procédés, depuis la brutale rupture entre ces deux formations politiques.
Le pic, dans ces actes d’inimitié, a été atteint le Week-end écoulé au cours duquel une députée du RHDP, Mariam Traoré, a proféré des injures, via la plateforme sociale Facebook aux femmes du PDCI et spécialement à leur présidente urbaine, Sita Coulibaly.
gak/ask