Malgré les efforts déployés par les gouvernants, on constate une insuffisance de travaux pratiques (TP) dans les filières scientifiques. Le projet professionnalisation et ouverture à l’international de licences scientifiques expérimentales en Afrique de l’Ouest (PULSE) vient à point nommé pour aider les universités de Côte d’Ivoire et du Togo à remédier à ce manque. C’est dans cette optique qu’a eu lieu, au Pôle Scientifique de Bingerville de l’UFHB, ce lundi 11 février, le lancement des travaux du projet PULSE. Étaient présents à la cérémonie de lancement, le représentant du Maire de Bingerville, M. Ngoh Bakayoko, Conseiller Technique, représentant le Ministre de tutelle, M. De Chatenay, Chef de la délégation de l’UE, du Pr Jean Marc Broto, Président du CIRUISEF et des Présidents des Universités Félix Houphouët-Boigny, Nangui Abrogoua, du représentant du Président de l’université Jean Lorougnon Guédé.
En effet, ce manque de formation pratique a des conséquences dramatiques en termes d’insertion professionnelle dans la mesure où les diplômés de licence n’ont pas la technicité requise par les entreprises. Ce pourquoi, le projet PULSE vise à renforcer des licences scientifiques en physique, chimie et biologie dans un partenariat francophone composé de 5 universités de la région Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire et Togo), 5 universités de pays de l’Union Européenne (France, Belgique, Roumanie). À terme ; il s’agit, dans le cadre du projet PULSE, de la création de contenus numériques adaptés aux licences, de proposer des éléments de cours, des exercices, des tests de positionnement ou des simulations d’expériences. Cette approche permettra d’imaginer de nouvelles façons d’enseigner en développant de nouveaux modèles pédagogiques. L’objectif ? La montée en compétence des étudiants de licence qui facilitera leur employabilité, leur insertion professionnelle, leur compétitivité et leur mobilité.
Par ailleurs, il faut rappeler que ces travaux qui se tiennent sur 3 jours (11 au 13 février) permettront aux participants de s’approprier des objectifs, des contenus des différents groupes de travail dudit projet. À cet effet, les thématiques qui sont abordées en disent long : management et coordination du projet, assurance et contrôle de la qualité, diffusion et exploitation des résultats, analyse de l’existant, élaboration de l’analyse, création de plateformes numériques expérimentales, création de plateformes de ressources numériques.
Signalons qu’une cinquantaine de participants prend une part active à cette réunion du projet PULSE. Ils sont venus du Togo (universités Lomé et Kara), de Côte d’Ivoire (Universités Félix Houphouët-Boigny, Nangui Abrogoua et Jean Lorougnon Guédé) de l’Europe : France (universités Toulouse III, Aix-Marseille, Lille (UNISCIEL)), Belgique (Université Catholique de Louvain la Neuve), Roumanie (université polytechnique de Bucarest).
R. K avec service communication
En effet, ce manque de formation pratique a des conséquences dramatiques en termes d’insertion professionnelle dans la mesure où les diplômés de licence n’ont pas la technicité requise par les entreprises. Ce pourquoi, le projet PULSE vise à renforcer des licences scientifiques en physique, chimie et biologie dans un partenariat francophone composé de 5 universités de la région Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire et Togo), 5 universités de pays de l’Union Européenne (France, Belgique, Roumanie). À terme ; il s’agit, dans le cadre du projet PULSE, de la création de contenus numériques adaptés aux licences, de proposer des éléments de cours, des exercices, des tests de positionnement ou des simulations d’expériences. Cette approche permettra d’imaginer de nouvelles façons d’enseigner en développant de nouveaux modèles pédagogiques. L’objectif ? La montée en compétence des étudiants de licence qui facilitera leur employabilité, leur insertion professionnelle, leur compétitivité et leur mobilité.
Par ailleurs, il faut rappeler que ces travaux qui se tiennent sur 3 jours (11 au 13 février) permettront aux participants de s’approprier des objectifs, des contenus des différents groupes de travail dudit projet. À cet effet, les thématiques qui sont abordées en disent long : management et coordination du projet, assurance et contrôle de la qualité, diffusion et exploitation des résultats, analyse de l’existant, élaboration de l’analyse, création de plateformes numériques expérimentales, création de plateformes de ressources numériques.
Signalons qu’une cinquantaine de participants prend une part active à cette réunion du projet PULSE. Ils sont venus du Togo (universités Lomé et Kara), de Côte d’Ivoire (Universités Félix Houphouët-Boigny, Nangui Abrogoua et Jean Lorougnon Guédé) de l’Europe : France (universités Toulouse III, Aix-Marseille, Lille (UNISCIEL)), Belgique (Université Catholique de Louvain la Neuve), Roumanie (université polytechnique de Bucarest).
R. K avec service communication