Le premier sommet des chefs d’Etat de la commission climat de la région Sahel s’est ouvert ce lundi 25 février en fin de matinée au palais des congrès à Niamey sous la présidence du Chef de l’Etat nigérien, Issoufou Mahamadou, Président de la commission climat de la région Sahel en présence d’une demi- douzaine des dirigeants de la sous-région. Le ministre Ally Coulibaly de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur conduit la délégation ivoirienne à cet important sommet qui est l’occasion de valider le plan d’investissement climatique (2019-2030) de quelque 400 milliards de dollars.
Ce plan concerne 17 Etats de la bande sahélienne, allant de l’océan Atlantique à la Corne de l’Afrique. L’investissement se fera à travers un programme prioritaire axé sur six projets visant diverses actions sur le terrain pour limiter les émissions des gaz à effet de serre et pour permettre aux populations « de s’adapter aux changements climatiques. Le sommet de Niamey devra permettre de soumettre à la validation des chefs d’Etat et de gouvernement le plan d’investissement climatique élaboré par des experts » des 17 Etats.
La région du Sahel, qui abrite plus de 500 millions d’habitants pour une superficie d’environ 10 millions de km 2 est extrêmement vulnérable aux changements climatiques. Ainsi, l’Afrique subsaharienne connaît un taux important de dégradation. L’érosion côtière est « de plus en plus accentuée » avec « un à deux mètres par an au Sénégal et à Djibouti » et « vingt à trente mètres par an dans le
Les présidents Denis Sasou Nguesso du Congo, Alpha condé de la Guinée Conakry, Idriss Déby Itno du Tchad, Christian RocK Marc Kaboré du Burkina Faso, le vice-président du Soudan Bakri Hassan Saleh, le premier Malien Soumaylou Boubé Maiga et des délégations ministérielles ont répondu au rendez-vous de Niamey. La France est représentée par le ministre d’Etat de la transition écologique et solidaire, François de Rugy. 17 pays sont cernés par ce programme. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Cap vert, de la Côte d’Ivoire, de la Gambie, de la Guinée Conakry, du Djibouti, de l’Ethiopie, de l’Erythrée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigeria, du Sénégal, du Soudan et du Tchad.
Ce plan concerne 17 Etats de la bande sahélienne, allant de l’océan Atlantique à la Corne de l’Afrique. L’investissement se fera à travers un programme prioritaire axé sur six projets visant diverses actions sur le terrain pour limiter les émissions des gaz à effet de serre et pour permettre aux populations « de s’adapter aux changements climatiques. Le sommet de Niamey devra permettre de soumettre à la validation des chefs d’Etat et de gouvernement le plan d’investissement climatique élaboré par des experts » des 17 Etats.
La région du Sahel, qui abrite plus de 500 millions d’habitants pour une superficie d’environ 10 millions de km 2 est extrêmement vulnérable aux changements climatiques. Ainsi, l’Afrique subsaharienne connaît un taux important de dégradation. L’érosion côtière est « de plus en plus accentuée » avec « un à deux mètres par an au Sénégal et à Djibouti » et « vingt à trente mètres par an dans le
Les présidents Denis Sasou Nguesso du Congo, Alpha condé de la Guinée Conakry, Idriss Déby Itno du Tchad, Christian RocK Marc Kaboré du Burkina Faso, le vice-président du Soudan Bakri Hassan Saleh, le premier Malien Soumaylou Boubé Maiga et des délégations ministérielles ont répondu au rendez-vous de Niamey. La France est représentée par le ministre d’Etat de la transition écologique et solidaire, François de Rugy. 17 pays sont cernés par ce programme. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Cap vert, de la Côte d’Ivoire, de la Gambie, de la Guinée Conakry, du Djibouti, de l’Ethiopie, de l’Erythrée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigeria, du Sénégal, du Soudan et du Tchad.