Abidjan (Côte d’Ivoire) - Un groupe d’artistes dirigé par Salif Traoré dit A’Salfo, lead vocal du groupe musical Magic System a obtenu, jeudi à Abidjan, l’autorisation pour la mise en place d’un Comité scientifique en vue d’aborder les questions de la réforme des droits d’auteurs, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Cette décision fait suite à une rencontre avec le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman sur ce sujet. Selon le chef de file de ce groupe d’artistes, il y’a «la recrudescence de querelles dans notre maison sur la répartition des droits d’auteurs ».
Pour A’Salfo, il est important « de trouver ensemble des réponses qui pourront nous aider à mettre en place des règlements adaptés, des solutions pour être plus efficaces» d’où la proposition de la mise en place de ce Comité.
«Ce mouvement se détache de toute dissidence », a-t-il insisté. Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a salué cette initiative des artistes.
« Les droits d’auteurs évoluent. C’est un secteur dynamique qu’il faut maîtriser », a fait remarquer le ministre, par ailleurs écrivain. « Nous accédons à cette demande. Nous prendrons un acte pour la rendre plus opérationnelle et officielle», a-t-il indiqué.
A propos du Bureau ivoirien de droits d’auteurs (BURIDA), miné par de nombreuses dissensions, le ministre de la Culture et de la Francophonie a estimé qu’il «s’agit d’une crise de communication».
Le BURIDA « n’est pas paralysé», a ajouté M. Bandaman qui a également annoncé que les résultats de l’audit au sein de ce Bureau seront publiés dans les semaines à venir.
SY/ls
Cette décision fait suite à une rencontre avec le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman sur ce sujet. Selon le chef de file de ce groupe d’artistes, il y’a «la recrudescence de querelles dans notre maison sur la répartition des droits d’auteurs ».
Pour A’Salfo, il est important « de trouver ensemble des réponses qui pourront nous aider à mettre en place des règlements adaptés, des solutions pour être plus efficaces» d’où la proposition de la mise en place de ce Comité.
«Ce mouvement se détache de toute dissidence », a-t-il insisté. Pour sa part, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a salué cette initiative des artistes.
« Les droits d’auteurs évoluent. C’est un secteur dynamique qu’il faut maîtriser », a fait remarquer le ministre, par ailleurs écrivain. « Nous accédons à cette demande. Nous prendrons un acte pour la rendre plus opérationnelle et officielle», a-t-il indiqué.
A propos du Bureau ivoirien de droits d’auteurs (BURIDA), miné par de nombreuses dissensions, le ministre de la Culture et de la Francophonie a estimé qu’il «s’agit d’une crise de communication».
Le BURIDA « n’est pas paralysé», a ajouté M. Bandaman qui a également annoncé que les résultats de l’audit au sein de ce Bureau seront publiés dans les semaines à venir.
SY/ls