Abengourou- Kambou Emmanuel, un jeune orpailleur clandestin de la localité d’Ehouasso dans la sous-préfecture de Zaranou (Est, région de l’Indénié-Djuablin), a écopé mercredi de cinq d’emprisonnement ferme et 500 000 FCFA d’amende pour s’être rendu coupable du délit de tentative de vol dans une maison habitée.
Les faits remontent au 18 février 2019. Aux environs de 3h du matin alors que le témoin victime dont l’identité n’a pas été précisée et les membres de sa famille dormaient à la belle étoile en ces temps de forte chaleur, cet individu sans foi ni loi s’introduit discrètement dans leur maison. Malheureusement pour lui, il sera trahi par un bruit provenant de l’intérieur de cette maison.
Alertée par ce bruit, le témoin victime, qui dormait d’un œil, bondit de sa natte et pénètre aussitôt dans la maison. Il se retrouve nez à nez avec le malfrat qui le tient en respect avec un couteau. Il parvient malgré tout à le maitriser et à le conduire à la brigade de gendarmerie de Zaranou.
Lors de sa comparution à la barre du tribunal de première instance d’Abengourou, le jeune orpailleur clandestin expliquera qu’ayant ingurgité une forte dose d’alcool, il n’était pas maître de lui-même. « J’avais un peu trop bu. J’étais tellement fatigué que je ne contrôlais plus mes actes. Je passais dans la cour et j’ai pénétré dans cette maison qui pour moi était celle de mon ami Moussa », s’est-il défendu.
Malheureusement, il ne sera pas suivi par le tribunal qui n’entendait pas se laisser berner une seconde fois par ce récidiviste notoire qui avait réussi à s’en tirer lors d’un premier procès grâce à ses mêmes dénégations.
« Aujourd’hui nous n’allons pas nous laisser avoir, car une fois déjà le tribunal avait été nargué par ce jeune homme pas du tout catholique », a déclaré le ministère public qui a requis contre lui une peine de cinq ans ferme.
Ce dernier a été suivi par la cour qui a condamné Kambou Emmanuel à cinq ans d’emprisonnement ferme et 500 000 FCFA d’amende. Elle a aussi ordonné la confiscation du scellé, constitué d’un couteau, en vue de sa destruction.
rkk
Les faits remontent au 18 février 2019. Aux environs de 3h du matin alors que le témoin victime dont l’identité n’a pas été précisée et les membres de sa famille dormaient à la belle étoile en ces temps de forte chaleur, cet individu sans foi ni loi s’introduit discrètement dans leur maison. Malheureusement pour lui, il sera trahi par un bruit provenant de l’intérieur de cette maison.
Alertée par ce bruit, le témoin victime, qui dormait d’un œil, bondit de sa natte et pénètre aussitôt dans la maison. Il se retrouve nez à nez avec le malfrat qui le tient en respect avec un couteau. Il parvient malgré tout à le maitriser et à le conduire à la brigade de gendarmerie de Zaranou.
Lors de sa comparution à la barre du tribunal de première instance d’Abengourou, le jeune orpailleur clandestin expliquera qu’ayant ingurgité une forte dose d’alcool, il n’était pas maître de lui-même. « J’avais un peu trop bu. J’étais tellement fatigué que je ne contrôlais plus mes actes. Je passais dans la cour et j’ai pénétré dans cette maison qui pour moi était celle de mon ami Moussa », s’est-il défendu.
Malheureusement, il ne sera pas suivi par le tribunal qui n’entendait pas se laisser berner une seconde fois par ce récidiviste notoire qui avait réussi à s’en tirer lors d’un premier procès grâce à ses mêmes dénégations.
« Aujourd’hui nous n’allons pas nous laisser avoir, car une fois déjà le tribunal avait été nargué par ce jeune homme pas du tout catholique », a déclaré le ministère public qui a requis contre lui une peine de cinq ans ferme.
Ce dernier a été suivi par la cour qui a condamné Kambou Emmanuel à cinq ans d’emprisonnement ferme et 500 000 FCFA d’amende. Elle a aussi ordonné la confiscation du scellé, constitué d’un couteau, en vue de sa destruction.
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