Le congrès mondial des mobiles (MWC-19), grande messe de l’écosystème des Télécommunications s’est tenu du 24 au 28 Février 2019 à Barcelone en Espagne sous le thème « Connectivité intelligente ».
L’édition 2019 du Programme Ministériel élargit les débats traditionnels de réglementation et des politiques en plaçant un nouvel accent sur le mobile et l’émergence du citoyen numérique.
Une délégation de l’Agence Ivoirienne de Gestion des Fréquences (AIGF) a été conduite par le Président du Conseil d’Administration, Aka Saye Lazare, était à ce rendez-vous pour rencontrer ses homologues afin de s’enquérir de connaissances en la matière.
Ce congrès a été également l’occasion de partager les expériences ivoiriennes sur les questions de radiocommunications à l’heure de la 5G. Mme Christiane Yangni-Angaté, Conseillère Technique du Directeur Général de l’AIGF s’est penchée sur la problématique des populations en zones rurales et comment les technologies transformeront leurs vies au quotidien.
M. Serge Brice Kouassi, Chef de département Ingénierie, Planification du Spectre et Veille Technologique a eu l’occasion de participer aux conférences débattant des enjeux technologiques au regard des défis liés au spectre.
Plus que jamais, le citoyen est au centre de la préoccupation de l’industrie du numérique. En effet, les sujets discutés ont tourné autour de trois principales préoccupations à savoir comment le monde de l’Internet des objets et de l’intelligence artificielle mènera-t-il à une nouvelle croissance de l’emploi, en garantissant un futur sous le signe de l’inclusion financière et de la parité ? Le cadre réglementaire répond-il aux besoins d’accès et de données des citoyens d’aujourd’hui et de demain ? et comment la technologie façonne-t-elle les services publics et financiers qui ont le plus grand impact sociétal ?
Pendant ces trois jours, plus de 50 000 professionnels de l’industrie des communications mobiles, des ministres, des représentants des autorités de régulations des télécommunications et des dirigeants d’organisations internationales ont tenté de répondre aux diverses problématiques par des retours d’expériences, des analyses de haut niveau et des orientations stratégiques.
Notons que le GSMA est une association qui représente les intérêts des opérateurs mobiles du monde entier. Elle regroupe plus de 750 opérateurs et plus de 350 entreprises de l’écosystème mobile à travers le monde. Le GSMA contribue aussi à la définition et à la publication des normes en matière de téléphonie mobile.
Le GSMA a mis en évidence l’expansion de « l’hyperconnectivité » rendue possible par la 5G, l’internet des objets (IoT), l’intelligence artificielle (IA) et la big data. Les problématiques liées à la sécurité sur l’internet, la technologie de la blockchain et la monnaie électronique ont été également abordées.
Atapointe
L’édition 2019 du Programme Ministériel élargit les débats traditionnels de réglementation et des politiques en plaçant un nouvel accent sur le mobile et l’émergence du citoyen numérique.
Une délégation de l’Agence Ivoirienne de Gestion des Fréquences (AIGF) a été conduite par le Président du Conseil d’Administration, Aka Saye Lazare, était à ce rendez-vous pour rencontrer ses homologues afin de s’enquérir de connaissances en la matière.
Ce congrès a été également l’occasion de partager les expériences ivoiriennes sur les questions de radiocommunications à l’heure de la 5G. Mme Christiane Yangni-Angaté, Conseillère Technique du Directeur Général de l’AIGF s’est penchée sur la problématique des populations en zones rurales et comment les technologies transformeront leurs vies au quotidien.
M. Serge Brice Kouassi, Chef de département Ingénierie, Planification du Spectre et Veille Technologique a eu l’occasion de participer aux conférences débattant des enjeux technologiques au regard des défis liés au spectre.
Plus que jamais, le citoyen est au centre de la préoccupation de l’industrie du numérique. En effet, les sujets discutés ont tourné autour de trois principales préoccupations à savoir comment le monde de l’Internet des objets et de l’intelligence artificielle mènera-t-il à une nouvelle croissance de l’emploi, en garantissant un futur sous le signe de l’inclusion financière et de la parité ? Le cadre réglementaire répond-il aux besoins d’accès et de données des citoyens d’aujourd’hui et de demain ? et comment la technologie façonne-t-elle les services publics et financiers qui ont le plus grand impact sociétal ?
Pendant ces trois jours, plus de 50 000 professionnels de l’industrie des communications mobiles, des ministres, des représentants des autorités de régulations des télécommunications et des dirigeants d’organisations internationales ont tenté de répondre aux diverses problématiques par des retours d’expériences, des analyses de haut niveau et des orientations stratégiques.
Notons que le GSMA est une association qui représente les intérêts des opérateurs mobiles du monde entier. Elle regroupe plus de 750 opérateurs et plus de 350 entreprises de l’écosystème mobile à travers le monde. Le GSMA contribue aussi à la définition et à la publication des normes en matière de téléphonie mobile.
Le GSMA a mis en évidence l’expansion de « l’hyperconnectivité » rendue possible par la 5G, l’internet des objets (IoT), l’intelligence artificielle (IA) et la big data. Les problématiques liées à la sécurité sur l’internet, la technologie de la blockchain et la monnaie électronique ont été également abordées.
Atapointe