Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman a annoncé, lundi, qu’ « un hommage national sera rendu à l’écrivain, Bernard Binlin Dadié, décédé, samedi dernier à l’âge de 103 ans.
« Sur instruction de Monsieur le Président de la République, et en liaison avec sa famille et les acteurs du monde de la Culture, un hommage national sera rendu à l’illustre défunt en raison du modèle de vie qu’il symbolise pour les jeunes générations et de la place majeure qu’il occupe dans le champ des Belles-Lettres », souligne le ministre à travers une note transmise à APA.
Selon M. Bandaman par ailleurs écrivain, « avec sa disparition, le continent africain perd un défenseur passionné des libertés individuelles et collectives dont les écrits et l’action politique sont un grand chant d’amour lancé au monde depuis la Côte d’Ivoire ».
Poursuivant ses qualificatifs à l’égard de ce pair et devancier, le ministre Bandaman note qu’il est « un exemple d’auteur tout à la fois prolixe et de haute veine qui a hissé haut le pavois de nos Belles-Lettres ».
« Je salue la mémoire de ce grand homme dont la vie est une leçon de liberté et d’engagement au service du rayonnement de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique, du monde », a conclu le ministre.
L’écrivain ivoirien Bernard Binlin Dadié, considéré comme le père de la littérature ivoirienne, est décédé samedi à Abidjan à l’âge de 103 ans.
Romancier, nouvelliste, poète et dramaturge, Bernard Dadié est l’une des figures tutélaires de la littérature ivoirienne. Il a écrit plusieurs oeuvres littéraires dont des chroniques (Un nègre à Paris, la ville où nul ne meurt), des nouvelles ( Pagne noir, les jambes du fils de Dieu), des Romans (Climbié)...
Né en 1916 à Assinie dans le sud ivoirien, l’homme de lettres qui a marqué de son empreinte la culture ivoirienne, était également engagé politiquement dans la lutte anti anticoloniale auprès du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny. L’auteur du célèbre roman autobiographique « Climbié» a été ministre de la culture en Côte d’Ivoire de 1977 à 1986 sous le régime du parti unique.
SY/ls/APA
« Sur instruction de Monsieur le Président de la République, et en liaison avec sa famille et les acteurs du monde de la Culture, un hommage national sera rendu à l’illustre défunt en raison du modèle de vie qu’il symbolise pour les jeunes générations et de la place majeure qu’il occupe dans le champ des Belles-Lettres », souligne le ministre à travers une note transmise à APA.
Selon M. Bandaman par ailleurs écrivain, « avec sa disparition, le continent africain perd un défenseur passionné des libertés individuelles et collectives dont les écrits et l’action politique sont un grand chant d’amour lancé au monde depuis la Côte d’Ivoire ».
Poursuivant ses qualificatifs à l’égard de ce pair et devancier, le ministre Bandaman note qu’il est « un exemple d’auteur tout à la fois prolixe et de haute veine qui a hissé haut le pavois de nos Belles-Lettres ».
« Je salue la mémoire de ce grand homme dont la vie est une leçon de liberté et d’engagement au service du rayonnement de la Côte d’Ivoire, de l’Afrique, du monde », a conclu le ministre.
L’écrivain ivoirien Bernard Binlin Dadié, considéré comme le père de la littérature ivoirienne, est décédé samedi à Abidjan à l’âge de 103 ans.
Romancier, nouvelliste, poète et dramaturge, Bernard Dadié est l’une des figures tutélaires de la littérature ivoirienne. Il a écrit plusieurs oeuvres littéraires dont des chroniques (Un nègre à Paris, la ville où nul ne meurt), des nouvelles ( Pagne noir, les jambes du fils de Dieu), des Romans (Climbié)...
Né en 1916 à Assinie dans le sud ivoirien, l’homme de lettres qui a marqué de son empreinte la culture ivoirienne, était également engagé politiquement dans la lutte anti anticoloniale auprès du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny. L’auteur du célèbre roman autobiographique « Climbié» a été ministre de la culture en Côte d’Ivoire de 1977 à 1986 sous le régime du parti unique.
SY/ls/APA