En Côte d'Ivoire, trois organisations de défense des droits de l’homme, membres de la FIDH, déposent un recours « en excès de pouvoir » devant la Cour suprême contre l’ordonnance d’amnistie prise par le président Alassane Ouattara en août 2018. Une amnistie qui a visé plusieurs centaines de personnes, dont Simone Gbagbo, condamnée pour atteinte à la sûreté de l’État.
« On a écrit au président de la République pour lui signifier que le recours gracieux qu’on lui adressait était pour lui signifier que l’ordonnance d’amnistie qu’il avait prise était illégale. » Willy Neth, vice-président de la Ligue ivoirienne des droits de l’homme, la Lidho, ne mache pas ses mots.
Il faut dire que pour les trois organisations qui ont déposé un recours contre... suite de l'article sur RFI
« On a écrit au président de la République pour lui signifier que le recours gracieux qu’on lui adressait était pour lui signifier que l’ordonnance d’amnistie qu’il avait prise était illégale. » Willy Neth, vice-président de la Ligue ivoirienne des droits de l’homme, la Lidho, ne mache pas ses mots.
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