Soucieuse de disposer d’un système de diplômes, ouvert sur le monde, capable de favoriser l’insertion des apprenants sur le marché de l’emploi et d’améliorer la performance des institutions d’enseignement supérieur, la Côte d’Ivoire, à l’instar des pays de la sous-région, a transposé la Directive N°03/2007/CM/UEMOA du 04 juillet 2007 en adoptant en 2009 le système LMD (Licence Master et Doctorat) par décret N°2009-164.
Le basculement vers ce nouveau système amorcé timidement dans les structures d’enseignement supérieures nationales connaît son plein essor, après que le cadre réglementaire d’application a été instauré par le Ministère en charge de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (arrêtés 247, 248, 249 du 11 décembre 2011). Le basculement intégral dans le système LMD s’est effectué à la rentrée universitaire 2012.
Sept ans après, un atelier de lancement de l’étude bilan de la mise en œuvre du système LMD en Côte d’Ivoire a été organisé le vendredi 26 avril, à l’Université Félix Houphpuët-Boigny, aussi bien à l’intention des équipes de gouvernance des universités, des usagers, que du personnel administratif en charge du déploiement du LMD.
Cet atelier financé par le C2D sous la houlette de l’Ambassadeur de France, vient présenter et partager les enjeux et les méthodes de l’étude bilan de la mise en œuvre de la réforme LMD en Côte d’Ivoire.
Dans le cadre du projet AMRUGE-CI du deuxième C2D-ESRS (Enseignement supérieur et recherche scientifique), il a été procédé au recrutement d’un expert international et d’un expert national chargés de conduire ladite étude.
Le principal livrable de cette étude est bien de décrire une nouvelle étape pour le déploiement du LMD en Côte d’Ivoire. Cette étape devrait se traduire par une appropriation pleine et entière de la logique LMD de la part des acteurs. C’est dans cette perspective que s’inscrit l’atelier de lancement officiel qui doit permettre d’une part de partager l’esprit et la méthode qui seront adoptés, et d’autre part d’amorcer le travail de coordination entre les experts et les EES (Etablissement d’enseignement supérieur).
L’objectif principal c’est que dans le système LMD, l’enseignement supérieur ne doit pas être déconnecté des besoins du monde socioéconomique et il doit être adapté à l’évolution du marché de l’emploi et par conséquent orientée vers l’intégration du numérique dans les pratiques pédagogiques.
L’harmonisation des méthodes pédagogiques suppose un véritable changement de paradigme, car il revient à l’enseignement supérieur de faire des étudiants en cours de formation des hommes et femmes responsables, conscients du rôle majeur qu’ils doivent jouer pour contribuer efficacement au développement du pays.
La dimension de l’harmonisation relative à la gouvernance des établissements d’enseignement supérieur et de recherche qui faisant partie intégrante du dispositif LMD, est le socle de l’élaboration des contrats de performance dans lesdits établissements.
Le parcours de formation dans le système LMD, a vocation d’être évolutif pour prendre en compte les différentes contraintes inhérentes à l’évolution du marché de l’emploi, mais également de l’environnement académique.
JOB
Le basculement vers ce nouveau système amorcé timidement dans les structures d’enseignement supérieures nationales connaît son plein essor, après que le cadre réglementaire d’application a été instauré par le Ministère en charge de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (arrêtés 247, 248, 249 du 11 décembre 2011). Le basculement intégral dans le système LMD s’est effectué à la rentrée universitaire 2012.
Sept ans après, un atelier de lancement de l’étude bilan de la mise en œuvre du système LMD en Côte d’Ivoire a été organisé le vendredi 26 avril, à l’Université Félix Houphpuët-Boigny, aussi bien à l’intention des équipes de gouvernance des universités, des usagers, que du personnel administratif en charge du déploiement du LMD.
Cet atelier financé par le C2D sous la houlette de l’Ambassadeur de France, vient présenter et partager les enjeux et les méthodes de l’étude bilan de la mise en œuvre de la réforme LMD en Côte d’Ivoire.
Dans le cadre du projet AMRUGE-CI du deuxième C2D-ESRS (Enseignement supérieur et recherche scientifique), il a été procédé au recrutement d’un expert international et d’un expert national chargés de conduire ladite étude.
Le principal livrable de cette étude est bien de décrire une nouvelle étape pour le déploiement du LMD en Côte d’Ivoire. Cette étape devrait se traduire par une appropriation pleine et entière de la logique LMD de la part des acteurs. C’est dans cette perspective que s’inscrit l’atelier de lancement officiel qui doit permettre d’une part de partager l’esprit et la méthode qui seront adoptés, et d’autre part d’amorcer le travail de coordination entre les experts et les EES (Etablissement d’enseignement supérieur).
L’objectif principal c’est que dans le système LMD, l’enseignement supérieur ne doit pas être déconnecté des besoins du monde socioéconomique et il doit être adapté à l’évolution du marché de l’emploi et par conséquent orientée vers l’intégration du numérique dans les pratiques pédagogiques.
L’harmonisation des méthodes pédagogiques suppose un véritable changement de paradigme, car il revient à l’enseignement supérieur de faire des étudiants en cours de formation des hommes et femmes responsables, conscients du rôle majeur qu’ils doivent jouer pour contribuer efficacement au développement du pays.
La dimension de l’harmonisation relative à la gouvernance des établissements d’enseignement supérieur et de recherche qui faisant partie intégrante du dispositif LMD, est le socle de l’élaboration des contrats de performance dans lesdits établissements.
Le parcours de formation dans le système LMD, a vocation d’être évolutif pour prendre en compte les différentes contraintes inhérentes à l’évolution du marché de l’emploi, mais également de l’environnement académique.
JOB