« Tout à l’heure quand j’ai écouté les éminents professeurs, je dis que j’aurais pu être un étudiant du prof Jean-Noêl Loucou, parce que je suis entré à l’université à la rentrée universitaire 1973 – 1974 et en 1974 le prof Jean-Noël Loucou enseignait déjà. C’est un étudiant qui vient modestement devant son maître pour lui rendre hommage », ces mots empreints d’émotion sont ceux du président du Sénat, Jeannot Kouadio Ahoussou.
C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du colloque international en hommage au prof Jean-Noël Loucou qui s’est déroulé le mardi 07 mai, à l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), sous le parrainage d’Ahoussou Jeannot et la présidence du prof Abou Karamoko, président de l’UFHB. Ce colloque a été initié par la communauté d’historiens ivoiriens et de la sous-région pour trois jours d’assises aux fins de rendre un hommage à titre anthume au prof Jean-Noël Loucou.
« Homme multidimensionnel dont l’intelligence, le talent, la finesse, la souplesse, le modèle de vie sont unanimement reconnus », a déclaré le parrain Ahoussou avant de demander solennellement un ‘’standing ovation’’ (applaudissements débout) pour le Secrétaire général de la Fondation félix Houphouët-Boigny, Jean-Noël Loucou.
Le président du Sénat se privant de faire un éloge académique de l’historien devant ses pairs plus imprégnés de son parcours, a plutôt mis en exergue un pan de la vie politique de Jean-Noël Loucou, qui assuré avec maestria des responsabilités aussi sensibles que celles de chef et directeur de cabinet du président Henri Konan Bédié, lorsqu’il présidait aux destinées de la Côte d’Ivoire de 1993 à 1999.
« Disciple abreuvé à la philosophie politique du président Félix Houphouët-Boigny ta promotion en qualité de secrétaire général adjoint puis de secrétaire général de la Fondation FHB de la Côte d’Ivoire moderne, en est le témoignage édifiant » a souligné Ahoussou Jeannot.
Selon le président du Sénat, les hommes et les pays ont un destin auquel ils n’échappent point. Et celui de Jean-Noël Loucou, est d’avoir l’intelligence de reprendre et de promouvoir les idées fécondes de l’houphouëtisme et de percevoir avec acuité mieux que quiconque les enjeux de la paix dans un monde globalisé où les sociétés, civilisations et cultures s’entrechoquent.
Notons que pendant ces trois jours d’hommage, plus de 70 professeurs d’histoires animeront des conférences sur l’histoire de l’Afrique noire, l’histoire de son peuplement, la civilisation africaine, l’héritage coloniale ainsi que les relations internationales. Les travaux des axes de recherche du professeur seront tous présentés lors du colloque.
« La reconnaissance de ses pairs et de ses disciples vaut son pesant d’or. Et, je pense qu’après ç je n’attends plus d’autre hommage », dixit Jean-Noël Loucou, qui se consacre pour l’heure à mener des initiatives de recherche de la paix via la Fondation Félix Houphouët-Boigny qu’il chapeaute.
JOB
C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du colloque international en hommage au prof Jean-Noël Loucou qui s’est déroulé le mardi 07 mai, à l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), sous le parrainage d’Ahoussou Jeannot et la présidence du prof Abou Karamoko, président de l’UFHB. Ce colloque a été initié par la communauté d’historiens ivoiriens et de la sous-région pour trois jours d’assises aux fins de rendre un hommage à titre anthume au prof Jean-Noël Loucou.
« Homme multidimensionnel dont l’intelligence, le talent, la finesse, la souplesse, le modèle de vie sont unanimement reconnus », a déclaré le parrain Ahoussou avant de demander solennellement un ‘’standing ovation’’ (applaudissements débout) pour le Secrétaire général de la Fondation félix Houphouët-Boigny, Jean-Noël Loucou.
Le président du Sénat se privant de faire un éloge académique de l’historien devant ses pairs plus imprégnés de son parcours, a plutôt mis en exergue un pan de la vie politique de Jean-Noël Loucou, qui assuré avec maestria des responsabilités aussi sensibles que celles de chef et directeur de cabinet du président Henri Konan Bédié, lorsqu’il présidait aux destinées de la Côte d’Ivoire de 1993 à 1999.
« Disciple abreuvé à la philosophie politique du président Félix Houphouët-Boigny ta promotion en qualité de secrétaire général adjoint puis de secrétaire général de la Fondation FHB de la Côte d’Ivoire moderne, en est le témoignage édifiant » a souligné Ahoussou Jeannot.
Selon le président du Sénat, les hommes et les pays ont un destin auquel ils n’échappent point. Et celui de Jean-Noël Loucou, est d’avoir l’intelligence de reprendre et de promouvoir les idées fécondes de l’houphouëtisme et de percevoir avec acuité mieux que quiconque les enjeux de la paix dans un monde globalisé où les sociétés, civilisations et cultures s’entrechoquent.
Notons que pendant ces trois jours d’hommage, plus de 70 professeurs d’histoires animeront des conférences sur l’histoire de l’Afrique noire, l’histoire de son peuplement, la civilisation africaine, l’héritage coloniale ainsi que les relations internationales. Les travaux des axes de recherche du professeur seront tous présentés lors du colloque.
« La reconnaissance de ses pairs et de ses disciples vaut son pesant d’or. Et, je pense qu’après ç je n’attends plus d’autre hommage », dixit Jean-Noël Loucou, qui se consacre pour l’heure à mener des initiatives de recherche de la paix via la Fondation Félix Houphouët-Boigny qu’il chapeaute.
JOB
