Abidjan – Le cabinet et les structures sous-tutelle du ministère de la Communication et des Médias, conduits par le directeur de cabinet, Adou Jean-Martial, ont visité l’Agence ivoirienne de presse (AIP), à Abidjan-Plateau, où la directrice centrale, Oumou Barry Sana, les a instruits sur l’histoire de l’agence et les contingences de son fonctionnement.
Cette initiative de visite vise à favoriser un cadre de rencontre et d’échanges entre les responsables des structures sous-tutelle et du cabinet ministère "pour un brassage entre structures autour des problématiques de l’écosystème des médias de service public".
Sous les airs de la flûte enchanteresse des élèves du collège moderne de M’Pouto, dirigés par la professeure de musique, Mme Koffi Esther, la directrice a rappelé que de l’AIP existe depuis 1961 et qu’elle s’est émancipée pour amorcer son développement depuis 1991, sous le statut d’établissement public national (EPN) avec la production de flashs d’informations, de dépêches, de vidéos, de textes et de sons multimédias grâce à travers ses réseaux de collecte et de traitement de l’information.
L’AIP dispose de cinq sous-directions, de 12 services dont un consacré aux réseaux sociaux. Elle propose des produits commerciaux qui lui assurent une relative autonomie financière.
Le site Internet du premier média de la Côte d’Ivoire indépendante enregistre plus de 10 000 visiteurs en moyenne par jour, voire plus de 70 000 vues par jour pour certains posts sur les réseaux sociaux, a ajouté la directrice centrale.
L’AIP est en partenariat avec plusieurs agences membres de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (FAAPA), avec les principaux organes de presse nationaux ou étrangers dont le Dow Jones Factiva, a souligné Mme Sana, lors de la cérémonie.
Cette rencontre « enrichissante », occasion pour s’imprégner des réalités de l’AIP, vise à mobiliser le personnel pour diagnostiquer les défis « immenses » à relever et évaluer les potentialités de la richesse des ressources humaines de cette « prestigieuse maison », a indiqué, pour sa part, le président du conseil de gestion, Mamadou Fofana.
La directrice centrale de l’AIP a mené, depuis 2011, plusieurs chantiers qui ont abouti à un abonnement groupé du gouvernement, à la vente de produits commerciaux dont des flashs SMS, qualifiés d’« ingénieux » par le directeur de cabinet Adou Jean-Martial qui a suggéré l’exploration « d’autres niches » telles que l’information à temps réel sur les activités du cacao dont la Côte d’Ivoire est première productrice mondiale.
aaa/kp
Cette initiative de visite vise à favoriser un cadre de rencontre et d’échanges entre les responsables des structures sous-tutelle et du cabinet ministère "pour un brassage entre structures autour des problématiques de l’écosystème des médias de service public".
Sous les airs de la flûte enchanteresse des élèves du collège moderne de M’Pouto, dirigés par la professeure de musique, Mme Koffi Esther, la directrice a rappelé que de l’AIP existe depuis 1961 et qu’elle s’est émancipée pour amorcer son développement depuis 1991, sous le statut d’établissement public national (EPN) avec la production de flashs d’informations, de dépêches, de vidéos, de textes et de sons multimédias grâce à travers ses réseaux de collecte et de traitement de l’information.
L’AIP dispose de cinq sous-directions, de 12 services dont un consacré aux réseaux sociaux. Elle propose des produits commerciaux qui lui assurent une relative autonomie financière.
Le site Internet du premier média de la Côte d’Ivoire indépendante enregistre plus de 10 000 visiteurs en moyenne par jour, voire plus de 70 000 vues par jour pour certains posts sur les réseaux sociaux, a ajouté la directrice centrale.
L’AIP est en partenariat avec plusieurs agences membres de la Fédération atlantique des agences de presse africaines (FAAPA), avec les principaux organes de presse nationaux ou étrangers dont le Dow Jones Factiva, a souligné Mme Sana, lors de la cérémonie.
Cette rencontre « enrichissante », occasion pour s’imprégner des réalités de l’AIP, vise à mobiliser le personnel pour diagnostiquer les défis « immenses » à relever et évaluer les potentialités de la richesse des ressources humaines de cette « prestigieuse maison », a indiqué, pour sa part, le président du conseil de gestion, Mamadou Fofana.
La directrice centrale de l’AIP a mené, depuis 2011, plusieurs chantiers qui ont abouti à un abonnement groupé du gouvernement, à la vente de produits commerciaux dont des flashs SMS, qualifiés d’« ingénieux » par le directeur de cabinet Adou Jean-Martial qui a suggéré l’exploration « d’autres niches » telles que l’information à temps réel sur les activités du cacao dont la Côte d’Ivoire est première productrice mondiale.
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