La police nationale a démantelé un réseau d'esclaves sexuelles alimenté par deux proxénètes nigérianes mises aux arrêts, rapporte, mardi, la page officielle Facebook de la direction générale de la police nationale (DGPN).
Selon cette source, la nommée Joy O (39 ans), de nationalité nigériane, «prostituée et proxénète », a fait venir en Côte d'Ivoire ses compatriotes « Alaby C., 36 ans et Adaézé E., 21 ans, le 12 mai 2019 » en leur faisant croire qu'elles venaient aux bords de la lagune Ebrié «pour vendre des vêtements ».
Contre toute attente, elle les confie à « sa complice la nommée R. Nwokoro, 40 ans, Nigériane, prostituée, le temps de trouver des ghettos où elle pourrait les placer pour être utilisées comme des esclaves sexuelles », explique la police.
Manque de pots pour les deux proxénètes. Car la petite sœur de la complice, «éprise de compassion » pour les filles, leur avoue la vraie raison pour laquelle elles sont en Côte d'Ivoire.
Se livrer au plus vieux métier du monde et «payer la somme de 2.5 millions FCFA à leur Madame » avant de recouvrer la liberté.
« Profitant d'un moment d'inattention, les deux victimes s'échappent du domicile et se rendent au commissariat de Police du 22ème puis au 30ème pour finalement être conduites à la Brigade Mondaine de la Préfecture de Police d'Abidjan pour compétence », relate la police.
Après les investigations, les fins limiers de la Brigade Mondaine interpellent les deux proxénètes le 16 mai 2019 aux environs de 18 heures et les déferrent au Parquet d'Abidjan Plateau pour répondre de leurs actes.
HS/ls/APA
Selon cette source, la nommée Joy O (39 ans), de nationalité nigériane, «prostituée et proxénète », a fait venir en Côte d'Ivoire ses compatriotes « Alaby C., 36 ans et Adaézé E., 21 ans, le 12 mai 2019 » en leur faisant croire qu'elles venaient aux bords de la lagune Ebrié «pour vendre des vêtements ».
Contre toute attente, elle les confie à « sa complice la nommée R. Nwokoro, 40 ans, Nigériane, prostituée, le temps de trouver des ghettos où elle pourrait les placer pour être utilisées comme des esclaves sexuelles », explique la police.
Manque de pots pour les deux proxénètes. Car la petite sœur de la complice, «éprise de compassion » pour les filles, leur avoue la vraie raison pour laquelle elles sont en Côte d'Ivoire.
Se livrer au plus vieux métier du monde et «payer la somme de 2.5 millions FCFA à leur Madame » avant de recouvrer la liberté.
« Profitant d'un moment d'inattention, les deux victimes s'échappent du domicile et se rendent au commissariat de Police du 22ème puis au 30ème pour finalement être conduites à la Brigade Mondaine de la Préfecture de Police d'Abidjan pour compétence », relate la police.
Après les investigations, les fins limiers de la Brigade Mondaine interpellent les deux proxénètes le 16 mai 2019 aux environs de 18 heures et les déferrent au Parquet d'Abidjan Plateau pour répondre de leurs actes.
HS/ls/APA