De retour d’une tournée des États-Unis, Amed Sylla, président de la jeunesse panafricaine a été accueilli à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny ce mercredi 22 Mai par les membres de son organisation et une forte mobilisation de jeunes.
Le président de la jeunesse panafricaine a séjourné durant un mois au pays de l’oncle Sam pour nouer des partenariats avec certaines organisations et mécènes en vue de la promotion de la structure qu’il a créé et dirige depuis décembre 2018.
«Ce fut une mission fructueuse. Bientôt des personnalités venues de ce pays viendront nous visiter également dans le sens de la promotion de la jeunesse panafricaine » a-t-il confié.
Aux jeunes, il les a sensibilisés à se détourner de l’immigration irrégulière peu importe la motivation. « Vous pouvez rester ici chez vous et réussir. Dès lors, Allez en occident sera pour vous d’aller en vacances et revenir mais non plus un luxe ».
Il a expliqué qu’il a pu rencontrer en France, en Afrique du Sud, en Allemagne et même aux États-Unis d’où il revient fraichement, des jeunes Africains qui y vivent dans des conditions difficiles et irrégulières. Pourtant, très souvent actif sur les réseaux Sociaux se faisant passer pour "des stars", " ces vendeurs d’illusions " les a-t-il qualifié.
C’est fort de son expérience personnelle qu’il s’est forgé cette philosophie à laquelle il s’attelle à faire adhérer la jeunesse Africaine.
Amed Sylla est né d’une famille modeste et a grandi à Abobo, l’un des quartiers populaires d’Abidjan. Inscrit par ses parents dans l’enseignement général, ce dernier a préféré apprendre un métier au détriment de la volonté de ses parents.
De fil en aiguille, en dépit des nombreuses difficultés, "le petit mécanicien" du quartier réussit à se faire une place au soleil. Aujourd’hui, il est propriétaire de 3 garages à Abidjan et à Hambourg (Allemagne); du moins pour ne citer que ceux-là.
S’inspirant de son modèle, "jeunesse panafricaine" est une organisation non gouvernementale qui œuvre pour rapprocher la jeunesse à la formation et à l’emploi, promouvoir l’entrepreneuriat, promouvoir une jeunesse gagnante et surtout lutter efficacement contre l’immigration clandestine.
P. R.
Le président de la jeunesse panafricaine a séjourné durant un mois au pays de l’oncle Sam pour nouer des partenariats avec certaines organisations et mécènes en vue de la promotion de la structure qu’il a créé et dirige depuis décembre 2018.
«Ce fut une mission fructueuse. Bientôt des personnalités venues de ce pays viendront nous visiter également dans le sens de la promotion de la jeunesse panafricaine » a-t-il confié.
Aux jeunes, il les a sensibilisés à se détourner de l’immigration irrégulière peu importe la motivation. « Vous pouvez rester ici chez vous et réussir. Dès lors, Allez en occident sera pour vous d’aller en vacances et revenir mais non plus un luxe ».
Il a expliqué qu’il a pu rencontrer en France, en Afrique du Sud, en Allemagne et même aux États-Unis d’où il revient fraichement, des jeunes Africains qui y vivent dans des conditions difficiles et irrégulières. Pourtant, très souvent actif sur les réseaux Sociaux se faisant passer pour "des stars", " ces vendeurs d’illusions " les a-t-il qualifié.
C’est fort de son expérience personnelle qu’il s’est forgé cette philosophie à laquelle il s’attelle à faire adhérer la jeunesse Africaine.
Amed Sylla est né d’une famille modeste et a grandi à Abobo, l’un des quartiers populaires d’Abidjan. Inscrit par ses parents dans l’enseignement général, ce dernier a préféré apprendre un métier au détriment de la volonté de ses parents.
De fil en aiguille, en dépit des nombreuses difficultés, "le petit mécanicien" du quartier réussit à se faire une place au soleil. Aujourd’hui, il est propriétaire de 3 garages à Abidjan et à Hambourg (Allemagne); du moins pour ne citer que ceux-là.
S’inspirant de son modèle, "jeunesse panafricaine" est une organisation non gouvernementale qui œuvre pour rapprocher la jeunesse à la formation et à l’emploi, promouvoir l’entrepreneuriat, promouvoir une jeunesse gagnante et surtout lutter efficacement contre l’immigration clandestine.
P. R.
