Abidjan, Le Programme ivoiro-suisse d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES) exhorte les géographes et l’ensemble des chercheurs ivoiriens à tendre vers la collaboration avec leurs homologues étrangers pour des projets communs de recherche pour un plus large accès aux différents fonds de financements.
"Les bailleurs de fonds obéissent à des objectifs. Ils ne financent pas pour financer. Ils financent avec des objectifs bien précis de développement. Et depuis un certain temps, le PASRES s’associe avec d’autres bailleurs de fonds des pays africains pour financer des projets qui intéressent la Côte d’Ivoire et ces pays-là. C’est donc vous dire que les rudiments que vous avez reçus ne doivent pas servir à votre propre personne. Pensez à faire des projets de recherche en vous associant entre vous, avec d’autres disciplines et aussi avec d’autres collègues d’autres pays", a lancé la présidente du Conseil scientifique du PASRES, Pr Adohi Viviane, à 25 auditeurs de l’Institut de géographie tropicale.
A ces enseignants-chercheurs qui venaient de bénéficier, pendant trois jours, d’une formation sur "La rédaction d’un projet de recherche scientifique et la recherche de financement", elle a demandé, vendredi, à l’issue de leur formation, de plancher en particulier sur les changements climatiques "qui nous posent les problèmes communs que traverse la planète".
La définition d’un projet de recherche, le cadre logique de la recherche, l’analyse des risques, les bénéficiaires, l’impact, la formulation des objectifs, la valorisation des résultats, la stratégie de recherche de financement, les guichets de financement, étaient, entre autres, au centre des ateliers animés par différents spécialistes dont Dr Ouattara Annette.
Ces formations du PASRES au bénéfice des chercheurs des Universités et instituts de recherche visent à pallier les faiblesses de rédaction, de présentation et d’argumentation des projets pour être bancables. En dix ans de présence, le PASRES a financé plusieurs projets de recherche à hauteur de plus de deux milliards F CFA, formé plusieurs doctorants, chercheurs et enseignants-chercheurs avant d’initier le financement de projets communs répondant à des problématiques impactant la vie des populations sur le continent.
En partenariat avec l’Ouganda, cet instrument de la coopération ivoiro-suisse a lancé, mercredi, un projet de recherche sur les maladies virales de l’igname, par exemple.
(AIP)
aaa/kam
"Les bailleurs de fonds obéissent à des objectifs. Ils ne financent pas pour financer. Ils financent avec des objectifs bien précis de développement. Et depuis un certain temps, le PASRES s’associe avec d’autres bailleurs de fonds des pays africains pour financer des projets qui intéressent la Côte d’Ivoire et ces pays-là. C’est donc vous dire que les rudiments que vous avez reçus ne doivent pas servir à votre propre personne. Pensez à faire des projets de recherche en vous associant entre vous, avec d’autres disciplines et aussi avec d’autres collègues d’autres pays", a lancé la présidente du Conseil scientifique du PASRES, Pr Adohi Viviane, à 25 auditeurs de l’Institut de géographie tropicale.
A ces enseignants-chercheurs qui venaient de bénéficier, pendant trois jours, d’une formation sur "La rédaction d’un projet de recherche scientifique et la recherche de financement", elle a demandé, vendredi, à l’issue de leur formation, de plancher en particulier sur les changements climatiques "qui nous posent les problèmes communs que traverse la planète".
La définition d’un projet de recherche, le cadre logique de la recherche, l’analyse des risques, les bénéficiaires, l’impact, la formulation des objectifs, la valorisation des résultats, la stratégie de recherche de financement, les guichets de financement, étaient, entre autres, au centre des ateliers animés par différents spécialistes dont Dr Ouattara Annette.
Ces formations du PASRES au bénéfice des chercheurs des Universités et instituts de recherche visent à pallier les faiblesses de rédaction, de présentation et d’argumentation des projets pour être bancables. En dix ans de présence, le PASRES a financé plusieurs projets de recherche à hauteur de plus de deux milliards F CFA, formé plusieurs doctorants, chercheurs et enseignants-chercheurs avant d’initier le financement de projets communs répondant à des problématiques impactant la vie des populations sur le continent.
En partenariat avec l’Ouganda, cet instrument de la coopération ivoiro-suisse a lancé, mercredi, un projet de recherche sur les maladies virales de l’igname, par exemple.
(AIP)
aaa/kam