Des experts réunis à Yamoussoukro, le 13 juin dernier, ont planché sur les perspectives de l’intelligence artificielle en Afrique et plus particulièrement en Côte d’Ivoire, lors de la première édition du forum « Les entretiens de Yamoussoukro ».
La rencontre de Yamoussoukro en effet eu pour thème « la Côte d’Ivoire à l’ère des robots et de l’intelligence artificielle » et a permis aux experts présents de s’exprimer quant aux facteurs productivité, rapidité, qualité et risque, sur l’importance de son instauration dans les activités dans la nouvelle ère.
Pour la première femme experte d’origine africaine en intelligence numérique, Fatim Cissé il s’agit d’une révolution qui ouvre la voie au développement.
" L’intelligence artificielle est le levier qui nous permettra d’atteindre le développement qu’on souhaite dans tous les domaines..." a-t-elle déclaré.
Puis de préciser: "cette révolution va faire disparaître des emplois, surtout les moins qualifiés, répétitifs, voire dangereux, mais créera beaucoup plus d’opportunités.”.
L’initiative de Jérôme Chartier, premier vice -président du Conseil Régional de la région île de france et président-fondateur des Entretiens de Royaumont, encourage la discussion et l’échange des idées.
"Les entretiens de Yamoussoukro" est la sixième édition de ce forum, après ceux de Royaumont, Varsovie, Madrid, Abu Dhabi et Rabat.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre François Amichia, représentant le vice-président de la république de Côte d’Ivoire, et du gouverneur du District autonome de Yamoussoukro son excellence Augustin Thiam.
Subdiviser en plusieurs sous-thèmes en l’occurrence " devenir un creuset scientifique pour le développement de la Côte d’Ivoire", " l’intelligence artificielle, une avancée pour l’humanité" et " l’avènement des robots et le monde du travail", cette série d’échanges a présenté un parterre d’interlocuteurs expérimentés dans différents domaines d’activités qui ont fait part de leur vécu en entreprise face à la révolution de ce nouvel outil qu’est l’intelligence artificielle.
L’état des lieux sur l’implémentation de cette nouvelle donne en Afrique montre un retard accusé du vieux continent, il n’en demeure pas moins que près de 10 États sont engagés dans l’intégration de ce nouveau système pour leur développement.
La rencontre de Yamoussoukro a pris fin par la lecture d’un rapport mettant en perspective la préparation des nations à l’arrivée des robots, un défi des décideurs.
D. A.
La rencontre de Yamoussoukro en effet eu pour thème « la Côte d’Ivoire à l’ère des robots et de l’intelligence artificielle » et a permis aux experts présents de s’exprimer quant aux facteurs productivité, rapidité, qualité et risque, sur l’importance de son instauration dans les activités dans la nouvelle ère.
Pour la première femme experte d’origine africaine en intelligence numérique, Fatim Cissé il s’agit d’une révolution qui ouvre la voie au développement.
" L’intelligence artificielle est le levier qui nous permettra d’atteindre le développement qu’on souhaite dans tous les domaines..." a-t-elle déclaré.
Puis de préciser: "cette révolution va faire disparaître des emplois, surtout les moins qualifiés, répétitifs, voire dangereux, mais créera beaucoup plus d’opportunités.”.
L’initiative de Jérôme Chartier, premier vice -président du Conseil Régional de la région île de france et président-fondateur des Entretiens de Royaumont, encourage la discussion et l’échange des idées.
"Les entretiens de Yamoussoukro" est la sixième édition de ce forum, après ceux de Royaumont, Varsovie, Madrid, Abu Dhabi et Rabat.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre François Amichia, représentant le vice-président de la république de Côte d’Ivoire, et du gouverneur du District autonome de Yamoussoukro son excellence Augustin Thiam.
Subdiviser en plusieurs sous-thèmes en l’occurrence " devenir un creuset scientifique pour le développement de la Côte d’Ivoire", " l’intelligence artificielle, une avancée pour l’humanité" et " l’avènement des robots et le monde du travail", cette série d’échanges a présenté un parterre d’interlocuteurs expérimentés dans différents domaines d’activités qui ont fait part de leur vécu en entreprise face à la révolution de ce nouvel outil qu’est l’intelligence artificielle.
L’état des lieux sur l’implémentation de cette nouvelle donne en Afrique montre un retard accusé du vieux continent, il n’en demeure pas moins que près de 10 États sont engagés dans l’intégration de ce nouveau système pour leur développement.
La rencontre de Yamoussoukro a pris fin par la lecture d’un rapport mettant en perspective la préparation des nations à l’arrivée des robots, un défi des décideurs.
D. A.