Oumé, Le fondateur de l’institut privé agricole d’Oumé, Gofry Doga Emile, estime que les écoles agricoles sont les seules où l’apprenant, à l’issue de sa formation, est déjà compétitif sur le marché de l’emploi.
« On ne va pas dans un centre d’enseignement technique parce qu’on a échoué dans l’enseignement général, tout comme il est dangereux de faire croire que le retour à la terre n’est destiné qu’aux déscolarisés », a signifié le fondateur.
Pour lui, au sortir des écoles agricoles, l’apprenant est à même de créer sa propre unité et devenir de ce fait, un employeur.
« L’on doit avoir un autre regard sur l’enseignement agricole et les centres d’enseignement technique », a-t-il soutenu, mercredi, à l’occasion de la cérémonie de reconnaissance du centre d’enseignement technique d’Oumé à ses partenaires.
Gofry Doga Emile a donc souhaité que tout pays comme la Côte d’Ivoire, qui aspire au développement à encourager les enfants à s’orienter vers les centres d’enseignement technique et les écoles agricoles. « Non pas parce qu’ils ont échoué à l’enseignement général, mais parce qu’ils ont des dispositions pour réussir dans ces branches », a précisé M. Gofry.
(AIP)
dl/kkf/tm
« On ne va pas dans un centre d’enseignement technique parce qu’on a échoué dans l’enseignement général, tout comme il est dangereux de faire croire que le retour à la terre n’est destiné qu’aux déscolarisés », a signifié le fondateur.
Pour lui, au sortir des écoles agricoles, l’apprenant est à même de créer sa propre unité et devenir de ce fait, un employeur.
« L’on doit avoir un autre regard sur l’enseignement agricole et les centres d’enseignement technique », a-t-il soutenu, mercredi, à l’occasion de la cérémonie de reconnaissance du centre d’enseignement technique d’Oumé à ses partenaires.
Gofry Doga Emile a donc souhaité que tout pays comme la Côte d’Ivoire, qui aspire au développement à encourager les enfants à s’orienter vers les centres d’enseignement technique et les écoles agricoles. « Non pas parce qu’ils ont échoué à l’enseignement général, mais parce qu’ils ont des dispositions pour réussir dans ces branches », a précisé M. Gofry.
(AIP)
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