Abidjan- Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) envisage de transformer son université des droits de l’homme (UDDH) en un centre un centre international de formation en droits de l’homme, en démocratie et en bonne gouvernance, a annoncé mercredi sa présidente, Namizata Sangaré, à la clôture de la session 1 et l’ouverture de la session 2 du cycle 2 de cette université.
"Notre objectif est de faire en sorte que cette université devienne à moyen terme un centre international de formation en droits de l’homme, démocratie et bonne gouvernance. Nous avons obtenu un site sur lequel nous allons bâtir ce centre. Il devrait devenir un véritable instrument pour les défenseurs des droits de l’homme", a déclaré Mme Sanagaré.
Son institution envisage davantage de relever le défi des institutions nationales des droits de l’homme (INDH) tourné vers la proximité, a-t-elle.
La présidente Sangaré Namizata a expliqué que le CNDH ambitionne de décentraliser l’UDDH en innovant par des cours en ligne, l’objectif étant de permettre à un grand nombre de personnes qui le souhaitent, de se familiariser avec les notions de base en matière de droits de l’homme.
"Cette session qui s’ouvre s’inscrit dans la continuité de la formation de qualité qu’offre le CNDH aux auditeurs, avec 20 modules prévus au lieu de neuf antérieurement et un accent particulier sera mis sur les défis émergents en matière de droits de l’homme, notamment le terrorisme, la migration, droits de l’homme et responsabilité sociétale des entreprises", a assuré Mme Sangaré.
Une conférence inaugurale prononcée par la présidente de la Commission africaine des droits de l’homme, Sohoyata Maïga, sur le thème "La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP): Mandat, défis et perspectives", a ponctué cette cérémonie de lancement.
Lancée le 1er février 2018, l’UDDH a pour mission de promouvoir les droits de l’homme en renforçant les capacités des acteurs et de tous ceux qui sont intéressés par la thématique des droits de l’homme.
Gak/kp
"Notre objectif est de faire en sorte que cette université devienne à moyen terme un centre international de formation en droits de l’homme, démocratie et bonne gouvernance. Nous avons obtenu un site sur lequel nous allons bâtir ce centre. Il devrait devenir un véritable instrument pour les défenseurs des droits de l’homme", a déclaré Mme Sanagaré.
Son institution envisage davantage de relever le défi des institutions nationales des droits de l’homme (INDH) tourné vers la proximité, a-t-elle.
La présidente Sangaré Namizata a expliqué que le CNDH ambitionne de décentraliser l’UDDH en innovant par des cours en ligne, l’objectif étant de permettre à un grand nombre de personnes qui le souhaitent, de se familiariser avec les notions de base en matière de droits de l’homme.
"Cette session qui s’ouvre s’inscrit dans la continuité de la formation de qualité qu’offre le CNDH aux auditeurs, avec 20 modules prévus au lieu de neuf antérieurement et un accent particulier sera mis sur les défis émergents en matière de droits de l’homme, notamment le terrorisme, la migration, droits de l’homme et responsabilité sociétale des entreprises", a assuré Mme Sangaré.
Une conférence inaugurale prononcée par la présidente de la Commission africaine des droits de l’homme, Sohoyata Maïga, sur le thème "La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP): Mandat, défis et perspectives", a ponctué cette cérémonie de lancement.
Lancée le 1er février 2018, l’UDDH a pour mission de promouvoir les droits de l’homme en renforçant les capacités des acteurs et de tous ceux qui sont intéressés par la thématique des droits de l’homme.
Gak/kp