« Prisonnier Aujourd’hui, agent de développement de demain », c’est sous ce thème que la Côte d’Ivoire a commémoré pour la première fois la journée internationale des détenus dénommée journée Mandela.
Le ministère de la Justice et des droits de l’homme à travers la Direction de l’administration Pénitentiaire (DAP) a procédé au lancement des trois (3) jours d’activités marquant cette célébration le mardi 16 juillet à l’hôtel du district d’Abidjan.
Comme ailleurs, en Côte d’Ivoire, il existe des prisons où sont incarcérés, par décision de justice, des citoyens qui enfreignent aux lois et règlements de la République.
Bien que détenus, ces personnes continues d’être membre de la société.
« Il faut alors changer le regard sur le détenu. Le mettre en prison, c’est pour l’humaniser, le faire se repentir de ses actes. À sa sorte de prison, la société doit contribuer à son intégration et lui permettre de participer au développement du pays » a soutenu Babacar Ouata, conseiller du président de la cours suprême, conférencier du jour.
Ce rôle appartient à la société civile qui doit être sensibilisé sur ce fait, mais également aux agents pénitentiaires, qui en amont, doivent développer l’approche de la sécurité dynamique dans les prisons. Cette approche qui inclus une parfaite communion entre détenus et agents pénitentiaires. En les faisant travailler sur les chantiers, les routes nationales par exemple, aucun détenu ne songerait à s’évader.
Boubakar Coulibaly, Directeur de l’administration pénitentiaire, a promis œuvrer pour que cette célébration soit pérenne en Côte d’Ivoire et que les acquis puissent contribuer à l’amélioration des conditions des détenus et des conditions de travail des agents pénitentiaires.
Le bureau national du Comité International de la Croix-Rouge (CICR), actif depuis vingt ans dans les prisons ivoiriennes a apporté sa contribution à la réussite de cette activité.
C’est en novembre 2009 que l’Assemblée Générale des Nations Unies a décrété la journée internationale Nelson Mandela ou Mandela Day en l’honneur de l’ancien président sud-africain pour attirer l’attention des gouvernants sur les conditions de détention et inviter la société à ne plus les stigmatiser.
Cyprien K.
Le ministère de la Justice et des droits de l’homme à travers la Direction de l’administration Pénitentiaire (DAP) a procédé au lancement des trois (3) jours d’activités marquant cette célébration le mardi 16 juillet à l’hôtel du district d’Abidjan.
Comme ailleurs, en Côte d’Ivoire, il existe des prisons où sont incarcérés, par décision de justice, des citoyens qui enfreignent aux lois et règlements de la République.
Bien que détenus, ces personnes continues d’être membre de la société.
« Il faut alors changer le regard sur le détenu. Le mettre en prison, c’est pour l’humaniser, le faire se repentir de ses actes. À sa sorte de prison, la société doit contribuer à son intégration et lui permettre de participer au développement du pays » a soutenu Babacar Ouata, conseiller du président de la cours suprême, conférencier du jour.
Ce rôle appartient à la société civile qui doit être sensibilisé sur ce fait, mais également aux agents pénitentiaires, qui en amont, doivent développer l’approche de la sécurité dynamique dans les prisons. Cette approche qui inclus une parfaite communion entre détenus et agents pénitentiaires. En les faisant travailler sur les chantiers, les routes nationales par exemple, aucun détenu ne songerait à s’évader.
Boubakar Coulibaly, Directeur de l’administration pénitentiaire, a promis œuvrer pour que cette célébration soit pérenne en Côte d’Ivoire et que les acquis puissent contribuer à l’amélioration des conditions des détenus et des conditions de travail des agents pénitentiaires.
Le bureau national du Comité International de la Croix-Rouge (CICR), actif depuis vingt ans dans les prisons ivoiriennes a apporté sa contribution à la réussite de cette activité.
C’est en novembre 2009 que l’Assemblée Générale des Nations Unies a décrété la journée internationale Nelson Mandela ou Mandela Day en l’honneur de l’ancien président sud-africain pour attirer l’attention des gouvernants sur les conditions de détention et inviter la société à ne plus les stigmatiser.
Cyprien K.