Samba David a recouvré sa liberté. Le président de la Coalition des indignés de Côte d’Ivoire (Cici), qui a été interpellé par la police devant le siège de la Commission électorale indépendante (CEI), dans la matinée du mardi 23 juillet 2019, a été libéré le lendemain mercredi, peu après 20h. Après ces 24h de garde à vue, Samba David compte remettre le couvert, relativement à l’action qu’il a annoncée à la Cei.
Joint ce jeudi matin, le leader du mouvement des ‘’indignés’’ fait noter qu’il tient à l’organisation du sit-in qu’il a prévu au siège de l’organe en charge des élections en Côte d’Ivoire. « Le sit-in n’est devant la Cei a été suspendu, mais pas annulé. Il faut que cela soit su », a-t-il lâché, soulignant avoir repris langue avec les dirigeants de la Cei pour relancer le rendez-vous manqué du mardi, suite auquel ses camarades et lui ont été interpellés. « Nous tenons à avoir la séance de travail convenue avec la Cei. Dès notre libération, nous avons rappelé le Secrétaire permanent qui nous avait donné rendez-vous. Il nous a demandé de reformuler notre demande d’audience. Le courrier est prêt. Nous allons le transmettre cet après-midi (ndlr : ce jeudi 25 juillet 2019) pour le prochain rendez-vous », souligne le président de la Cici.
Samba David salue, au passage, la coopération de la Cei, qui a contribué à leur mise à liberté par la police nationale. Contrairement aux commentaires, qui ont suivi leur interpellation, le leader des ‘’indignés’’ ne pense pas qu’il soit tombé dans un guet-apens avec ses amis. « Du moment où la Cei a reconnu que c’est nous qu’elle attendait, cela a pesé dans notre libération. La Cei a coopéré, elle nous a défendus et a participé à notre libération », reconnaît Samba David qui a relaté toutes les démarches sans suite entreprises avant de tomber dans les filets de la police.
F.D.B
Joint ce jeudi matin, le leader du mouvement des ‘’indignés’’ fait noter qu’il tient à l’organisation du sit-in qu’il a prévu au siège de l’organe en charge des élections en Côte d’Ivoire. « Le sit-in n’est devant la Cei a été suspendu, mais pas annulé. Il faut que cela soit su », a-t-il lâché, soulignant avoir repris langue avec les dirigeants de la Cei pour relancer le rendez-vous manqué du mardi, suite auquel ses camarades et lui ont été interpellés. « Nous tenons à avoir la séance de travail convenue avec la Cei. Dès notre libération, nous avons rappelé le Secrétaire permanent qui nous avait donné rendez-vous. Il nous a demandé de reformuler notre demande d’audience. Le courrier est prêt. Nous allons le transmettre cet après-midi (ndlr : ce jeudi 25 juillet 2019) pour le prochain rendez-vous », souligne le président de la Cici.
Samba David salue, au passage, la coopération de la Cei, qui a contribué à leur mise à liberté par la police nationale. Contrairement aux commentaires, qui ont suivi leur interpellation, le leader des ‘’indignés’’ ne pense pas qu’il soit tombé dans un guet-apens avec ses amis. « Du moment où la Cei a reconnu que c’est nous qu’elle attendait, cela a pesé dans notre libération. La Cei a coopéré, elle nous a défendus et a participé à notre libération », reconnaît Samba David qui a relaté toutes les démarches sans suite entreprises avant de tomber dans les filets de la police.
F.D.B