Dimbokro - La Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG) a installé un comité local d’intégrité à la clôture, jeudi, à Dimbokro, de l'atelier de sensibilisation sur les conséquences de la corruption.
Le comité d’intégrité est un instrument de veille pour surveiller et dénoncer les actes de corruption. Il veillera à informer et sensibiliser les populations sur les conséquences de la corruption, surveiller les prestations des services au public par l’administration, renforcer les capacités des agents publics et des populations sur la corruption et mener des enquêtes d’opinion sur la corruption au plan local et faire des propositions pour l’amélioration du dispositif anti-corruption, selon le chargé de formation et d’éducation de la HABG, Achiaou Jacques III.
Il est présidé par Bohoussou Kouadio, et comprend 10 membres reconnus pour leur intégrité dans la société. « Il revient à chaque acteur de de la société civile de mettre en œuvre les mesures qui lui incombent. Cela réduira substantiellement la corruption et ses conséquences », a invité Achiaou Jacques III, affirmant que c’est la voie pour le pays de faire face aux défis du développement.
En 2012, le gouvernement ivoirien a ratifié la Convention des Nations Unies contre la Corruption, dite Convention de Mérida et la Convention de l’Union Africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption, dite Convention de Maputo, s’engageant ainsi à faire de la lutte contre la corruption une priorité de sa bonne gouvernance et un axe fort de sa politique de développement.
(AIP)
ik/ask
Le comité d’intégrité est un instrument de veille pour surveiller et dénoncer les actes de corruption. Il veillera à informer et sensibiliser les populations sur les conséquences de la corruption, surveiller les prestations des services au public par l’administration, renforcer les capacités des agents publics et des populations sur la corruption et mener des enquêtes d’opinion sur la corruption au plan local et faire des propositions pour l’amélioration du dispositif anti-corruption, selon le chargé de formation et d’éducation de la HABG, Achiaou Jacques III.
Il est présidé par Bohoussou Kouadio, et comprend 10 membres reconnus pour leur intégrité dans la société. « Il revient à chaque acteur de de la société civile de mettre en œuvre les mesures qui lui incombent. Cela réduira substantiellement la corruption et ses conséquences », a invité Achiaou Jacques III, affirmant que c’est la voie pour le pays de faire face aux défis du développement.
En 2012, le gouvernement ivoirien a ratifié la Convention des Nations Unies contre la Corruption, dite Convention de Mérida et la Convention de l’Union Africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption, dite Convention de Maputo, s’engageant ainsi à faire de la lutte contre la corruption une priorité de sa bonne gouvernance et un axe fort de sa politique de développement.
(AIP)
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