Les professionnelles du sexe veulent briser la stigmatisation et mettre fin à toutes les formes de violence dont elles sont victimes.
Dans le cadre de la 3e édition de la rencontre régionale d’échange entre les associations et réseaux des professionnelles du Sexe du corridor Abidjan- Lagos qui s’est tenue les 25 et 26 juillet dernier à hôtel belle Côte, celles-ci sont venues renforcer leur capacité en ce qui concerne les droits humains, partager les bonnes pratiques en termes de lutte contre le VIH sida afin de créer un réseau fort qui va renforcer leur visibilité au sein des organes de prise de décision national et régional.
En Côte d’Ivoire, l’activité des professionnelles du sexe n’est pas encadrée par la loi. Ce qui laisse parfois, libre cours à certains citoyens de fouler aux pieds leurs droits humains ( droit à la vie, à la dignité, au travail à la santé, etc ) nonobstant les instruments internationaux et régionaux de protection des droits de l’homme ratifiés par la Côte d’Ivoire.
Marie-Louise Sery dit " La chaleur", membre de la Coalition de l’Afrique de l’ouest et du centre des travailleuses sexe qui revendique plus de 200 membres tout au long du corridor plaide pour que des lois soient votées pour l’épanouissement des PS. « Notre métier est comme tout autre du moment où il nous permet de nous prendre en charge et subvenir à nos besoins. Ainsi, nous contributions au développement du pays. Nous souhaitons que des mesures soit prises pour nous protéger » a-t-elle plaidé.
Avocats, magistrats, forces de l’ordre, journalistes, membres de la société civile et organisations des droits de l’homme ont pris part à cette rencontre.
Atapointe
Dans le cadre de la 3e édition de la rencontre régionale d’échange entre les associations et réseaux des professionnelles du Sexe du corridor Abidjan- Lagos qui s’est tenue les 25 et 26 juillet dernier à hôtel belle Côte, celles-ci sont venues renforcer leur capacité en ce qui concerne les droits humains, partager les bonnes pratiques en termes de lutte contre le VIH sida afin de créer un réseau fort qui va renforcer leur visibilité au sein des organes de prise de décision national et régional.
En Côte d’Ivoire, l’activité des professionnelles du sexe n’est pas encadrée par la loi. Ce qui laisse parfois, libre cours à certains citoyens de fouler aux pieds leurs droits humains ( droit à la vie, à la dignité, au travail à la santé, etc ) nonobstant les instruments internationaux et régionaux de protection des droits de l’homme ratifiés par la Côte d’Ivoire.
Marie-Louise Sery dit " La chaleur", membre de la Coalition de l’Afrique de l’ouest et du centre des travailleuses sexe qui revendique plus de 200 membres tout au long du corridor plaide pour que des lois soient votées pour l’épanouissement des PS. « Notre métier est comme tout autre du moment où il nous permet de nous prendre en charge et subvenir à nos besoins. Ainsi, nous contributions au développement du pays. Nous souhaitons que des mesures soit prises pour nous protéger » a-t-elle plaidé.
Avocats, magistrats, forces de l’ordre, journalistes, membres de la société civile et organisations des droits de l’homme ont pris part à cette rencontre.
Atapointe