A la manchette de notre parution du jeudi 12 septembre 2019, nous titrions à la ‘’Une’’ de l’Essor Ivoirien : ’’Atteinte à la liberté de la presse, le Directeur de Cabinet du ministre de l’Emploi doit être débarqué’’. Des rencontres B to B nous ont permis de faire la lumière sur ce que nous avions considéré de prime abord comme une atteinte à la liberté de la presse, alors qu’il n’en était rien dut tout !
Entre le journaliste de L’Essor Ivoirien et le Directeur de Cabinet du ministre de l’Emploi, M. Oka Séraphin, tout est bien qui finit bien. Une première appréciation à chaud des faits rapportés par des ennemis dudit Dircab, tapis dans certains bureaux de ce ministère, nous ont fait écrire qu’il y eu violence et voies de fait sur un journaliste dans l’exercice de ses fonctions et donc par conséquent, une atteinte à la liberté de la presse. Une rencontre au pied de ‘’l’arbre à palabres’’ nous a permis de situer les responsabilités. Des individus animés de mauvaises intentions envers le proche collaborateur du ministre et Général Issa Coulibaly ont voulu, intentionnellement, nuire à l’honneur et à la dignité de cet homme en nous servant des contre-vérités. Respectueux de l’éthique et de la déontologie de notre profession qui nous contraint à l’équilibre de l’information et donc à donner la parole à la ‘’partie incriminée’’, force nous a été donnée de constater que quelqu’un a fait une exagération des faits pour espérer réussir le tour de limogeage du Dircab du ministre de la Fonction publique et donc s’est servi de nos colonnes pour assouvir une soif de revanche et de vengeance. Tout n’est qu’incompréhension et malentendu. Car il était normal que le proche collaborateur du ministre Issa Coulibaly s’entoure de toutes les garanties avant de satisfaire le besoin d’informations de notre collaborateur. « La confiance n’exclut pas le contrôle », dit-on, même si notre confrère Julien Bolati, a déjà reçu un courrier dans ce sens. Et c’est cette simple vérification qui a été à la base de cette incompréhension et malentendu qui a débouché, confesse-t-on, sur la montée de l’adrénaline de part et d’autre. Au moment où nous mettions sous presse, tout était rentré dans l’ordre ! le calumet de la paix a été fumé. Promesse a été faite d’une bonne collaboration dans la quête de nos recherches d’informations en vue d’informer nos lecteurs. Car beaucoup de choses non vérifiées se disent sur les concours d’entrée à la fonction publique, les recrutements et autres avancements. Des contre-vérités que va ressortir notre enquête. Nous avons été agréablement surpris de savoir que c’est un fidèle lecteur de votre journal préféré. « C’est mon journal et je ne peux jamais user de violences contre un titre proche de mon parti, le RHDP. Qui soigne au quotidien l’image de notre président, SEM Alassane Ouattara et qui présente le mieux ses innombrables réalisations. Ma formation de juriste ne m’autorise pas à tomber dans de telle contrevenances ou atteintes à la liberté de la presse, en tant que défenseur de la loi », a assuré le Dircab. Alors question ? Qui a intérêt à se servir de nous pour diaboliser et déstabiliser ce haut cadre du RHDP dont l’état des services parle élogieusement et favorablement en sa faveur ? Au terme de notre rencontre-vérité à son cabinet, la paix des braves a été faite sur la base des idéaux chers au RHDP : « le vivre-ensemble dans la paix, la tolérance, la fraternité, la solidarité, l’amour du prochain ». Des ‘’mea culpa’’ ont été adressés de part et d’autre pour ‘’cimenter’’ de bonnes relations de collaborations dans le futur avec le ministère de l’Emploi. On a voulu donc nous induire en erreur, le mensonge a été rattrapé par la vérité qu’on a voulu nous cacher hier avec une main. Pour une grosse honte des ‘’kouglizias’’, c'est-à-dire les oiseaux de mauvaises augures, les ‘’sorciers politiques’’.
Igor Wawayou
Entre le journaliste de L’Essor Ivoirien et le Directeur de Cabinet du ministre de l’Emploi, M. Oka Séraphin, tout est bien qui finit bien. Une première appréciation à chaud des faits rapportés par des ennemis dudit Dircab, tapis dans certains bureaux de ce ministère, nous ont fait écrire qu’il y eu violence et voies de fait sur un journaliste dans l’exercice de ses fonctions et donc par conséquent, une atteinte à la liberté de la presse. Une rencontre au pied de ‘’l’arbre à palabres’’ nous a permis de situer les responsabilités. Des individus animés de mauvaises intentions envers le proche collaborateur du ministre et Général Issa Coulibaly ont voulu, intentionnellement, nuire à l’honneur et à la dignité de cet homme en nous servant des contre-vérités. Respectueux de l’éthique et de la déontologie de notre profession qui nous contraint à l’équilibre de l’information et donc à donner la parole à la ‘’partie incriminée’’, force nous a été donnée de constater que quelqu’un a fait une exagération des faits pour espérer réussir le tour de limogeage du Dircab du ministre de la Fonction publique et donc s’est servi de nos colonnes pour assouvir une soif de revanche et de vengeance. Tout n’est qu’incompréhension et malentendu. Car il était normal que le proche collaborateur du ministre Issa Coulibaly s’entoure de toutes les garanties avant de satisfaire le besoin d’informations de notre collaborateur. « La confiance n’exclut pas le contrôle », dit-on, même si notre confrère Julien Bolati, a déjà reçu un courrier dans ce sens. Et c’est cette simple vérification qui a été à la base de cette incompréhension et malentendu qui a débouché, confesse-t-on, sur la montée de l’adrénaline de part et d’autre. Au moment où nous mettions sous presse, tout était rentré dans l’ordre ! le calumet de la paix a été fumé. Promesse a été faite d’une bonne collaboration dans la quête de nos recherches d’informations en vue d’informer nos lecteurs. Car beaucoup de choses non vérifiées se disent sur les concours d’entrée à la fonction publique, les recrutements et autres avancements. Des contre-vérités que va ressortir notre enquête. Nous avons été agréablement surpris de savoir que c’est un fidèle lecteur de votre journal préféré. « C’est mon journal et je ne peux jamais user de violences contre un titre proche de mon parti, le RHDP. Qui soigne au quotidien l’image de notre président, SEM Alassane Ouattara et qui présente le mieux ses innombrables réalisations. Ma formation de juriste ne m’autorise pas à tomber dans de telle contrevenances ou atteintes à la liberté de la presse, en tant que défenseur de la loi », a assuré le Dircab. Alors question ? Qui a intérêt à se servir de nous pour diaboliser et déstabiliser ce haut cadre du RHDP dont l’état des services parle élogieusement et favorablement en sa faveur ? Au terme de notre rencontre-vérité à son cabinet, la paix des braves a été faite sur la base des idéaux chers au RHDP : « le vivre-ensemble dans la paix, la tolérance, la fraternité, la solidarité, l’amour du prochain ». Des ‘’mea culpa’’ ont été adressés de part et d’autre pour ‘’cimenter’’ de bonnes relations de collaborations dans le futur avec le ministère de l’Emploi. On a voulu donc nous induire en erreur, le mensonge a été rattrapé par la vérité qu’on a voulu nous cacher hier avec une main. Pour une grosse honte des ‘’kouglizias’’, c'est-à-dire les oiseaux de mauvaises augures, les ‘’sorciers politiques’’.
Igor Wawayou