Le projet de renforcement des capacités par l’utilisation des Technologies de l’information et de la Communication ( TIC) des personnels chargés de la prise en charge des personnes vivant avec le VIH Sida, dénommé projet ECHO, a été unanimement accepté par les prestataires de soins et sa faisabilité a été possible sur l’ensemble des sites de la phase pilote.
De six (6) sites que sont (Portbouet, Daoukro, Abengourou, Daloa et San-pedro) pour la phase pilote, le projet va s’étendre sur 28 sites pour sa phase de mise en œuvre et à terme couvrir l’ensemble des 112 districts sanitaires du pays.
C’est ce qui ressort de la présentation de Professeur William Yavo, coordonnateur du projet ECHO Côte d’Ivoire, au cours de l’atelier de dissémination du rapport d’évaluation de la phase pilote du projet ECHO en Côte d’Ivoire, ce jeudi 12 septembre à l’Institut Nationale de Santé Publique (INSP) d’Adjamé.
Réalisé sur plus de 600 personnes à travers 29 sections, le projet ECHO à pion sur rue auprès des professionnels du traitement antirétroviral. Pour cause, cette formation par visioconférence permet de réduire les écarts dans la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, et de rapprocher en temps réel et en temps record, les experts vers les personnels des zones reculées qui ne bénéficient pas très souvent de formation.
En plus de la formation théorique, les prestataires bénéficient d’une assistance sur le terrain par les experts pour améliorer la prise en charge et participer à la réduction du taux de prévalence en Côte d’Ivoire qui est de 2.5.
Pour Dr Blaise Koné, Directeur Général adjoint de la santé chargé de l’hygiène publique, représentant le Ministre de la santé et de l’hygiène publique, ce projet cadre bien avec la vision de e-santé du ministère. « Ce projet pilote avec la pathologie du VIH sida, pourra être adapté à d’autres programmes de santé» a-t-il indiqué.
Le projet ECHO (Extension for Community Healthcare Outcomes) qui est une initiative élaborée par l’Université de New Mexico aux Etats-unis, a le soutien de la fondation Élizabeth Glaser pour la lutte contre le SIDA pédiatrique en Côte d’Ivoire, l’appui financier du CDC/PEPDAR et du ministère de la santé et de l’hygiène publique à travers l’Institut Nationale de Santé.
C. T.
De six (6) sites que sont (Portbouet, Daoukro, Abengourou, Daloa et San-pedro) pour la phase pilote, le projet va s’étendre sur 28 sites pour sa phase de mise en œuvre et à terme couvrir l’ensemble des 112 districts sanitaires du pays.
C’est ce qui ressort de la présentation de Professeur William Yavo, coordonnateur du projet ECHO Côte d’Ivoire, au cours de l’atelier de dissémination du rapport d’évaluation de la phase pilote du projet ECHO en Côte d’Ivoire, ce jeudi 12 septembre à l’Institut Nationale de Santé Publique (INSP) d’Adjamé.
Réalisé sur plus de 600 personnes à travers 29 sections, le projet ECHO à pion sur rue auprès des professionnels du traitement antirétroviral. Pour cause, cette formation par visioconférence permet de réduire les écarts dans la prise en charge des personnes vivant avec le VIH, et de rapprocher en temps réel et en temps record, les experts vers les personnels des zones reculées qui ne bénéficient pas très souvent de formation.
En plus de la formation théorique, les prestataires bénéficient d’une assistance sur le terrain par les experts pour améliorer la prise en charge et participer à la réduction du taux de prévalence en Côte d’Ivoire qui est de 2.5.
Pour Dr Blaise Koné, Directeur Général adjoint de la santé chargé de l’hygiène publique, représentant le Ministre de la santé et de l’hygiène publique, ce projet cadre bien avec la vision de e-santé du ministère. « Ce projet pilote avec la pathologie du VIH sida, pourra être adapté à d’autres programmes de santé» a-t-il indiqué.
Le projet ECHO (Extension for Community Healthcare Outcomes) qui est une initiative élaborée par l’Université de New Mexico aux Etats-unis, a le soutien de la fondation Élizabeth Glaser pour la lutte contre le SIDA pédiatrique en Côte d’Ivoire, l’appui financier du CDC/PEPDAR et du ministère de la santé et de l’hygiène publique à travers l’Institut Nationale de Santé.
C. T.