Abidjan – La présidente de la Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH), Namizata Sangaré, a procédé, mardi, au lancement officiel de l’édition 2019 de son Prix dédié à « la gouvernance foncière basée sur les droits de l’homme ».
Ce prix permet de mobiliser les acteurs des droits de l’homme autour des principes et concepts fondamentaux concernant les droits de l’Homme, ceux de la Déclaration universelle et de nombreux mécanismes internationaux, a déclaré Mme Sangaré, dans son allocution, à la salle de conférence de l’institution.
Selon elle, cette compétition participe à bâtir une gouvernance foncière responsable en créant les conditions d’une gestion publique, transparente, participative, équitable, à travers la satisfaction optimale des attentes des citoyens pour des ressources foncières durables.
Il s’agira pour les postulants de présenter des travaux dont les objectifs majeurs sont le respect des droits de l’homme et du droit à la propriété, a expliqué le président du jury de cette quatrième édition, l'ancien ministre Coulibaly Gnénéma Mamadou, avocat général au Parquet général près la Cour suprême.
Les Organisations non gouvernementales, Organisations à base communautaires, associations et groupements agricoles et autres associations des droits de l'homme sont concernés par cette compétition. Le prix est attribué, chaque 10 décembre, à la Primature ou au siège du CNDH à Cocody.
Sept autres personnalités, entre autres, le magistrat Delbe Zirignon, le directeur du foncier rural Ouattara Nanankan et la magistrate Dah Kouyaté Ursuline composent le jury en plus du président.
Institué en 2016, ce prix honorifique est décerné à des personnes physiques et/ou morales qui se sont distinguées en matière de promotion, de protection et de défense des Droits de l’Homme à travers des approches innovantes sur une thématique précise.
nmfa/fmo
Ce prix permet de mobiliser les acteurs des droits de l’homme autour des principes et concepts fondamentaux concernant les droits de l’Homme, ceux de la Déclaration universelle et de nombreux mécanismes internationaux, a déclaré Mme Sangaré, dans son allocution, à la salle de conférence de l’institution.
Selon elle, cette compétition participe à bâtir une gouvernance foncière responsable en créant les conditions d’une gestion publique, transparente, participative, équitable, à travers la satisfaction optimale des attentes des citoyens pour des ressources foncières durables.
Il s’agira pour les postulants de présenter des travaux dont les objectifs majeurs sont le respect des droits de l’homme et du droit à la propriété, a expliqué le président du jury de cette quatrième édition, l'ancien ministre Coulibaly Gnénéma Mamadou, avocat général au Parquet général près la Cour suprême.
Les Organisations non gouvernementales, Organisations à base communautaires, associations et groupements agricoles et autres associations des droits de l'homme sont concernés par cette compétition. Le prix est attribué, chaque 10 décembre, à la Primature ou au siège du CNDH à Cocody.
Sept autres personnalités, entre autres, le magistrat Delbe Zirignon, le directeur du foncier rural Ouattara Nanankan et la magistrate Dah Kouyaté Ursuline composent le jury en plus du président.
Institué en 2016, ce prix honorifique est décerné à des personnes physiques et/ou morales qui se sont distinguées en matière de promotion, de protection et de défense des Droits de l’Homme à travers des approches innovantes sur une thématique précise.
nmfa/fmo
