Abidjan- la présidente du conseil national des droits de l’homme (CNDH), Namizata Sangaré, a reçu jeudi à son siège de Cocody, des représentations diplomatiques en Côte d’Ivoire, pour échanger sur la situation des droits de l’homme dans le pays.
Ce briefing périodique organisé par la CNDH est l’occasion pour cette institution de présenter l’évolution de la situation des droits de l’homme aux missions diplomatiques accréditées en Côte d’Ivoire.
Lors de cette rencontre, les différents départements de la CNDH, a savoir le département des droits civils et politiques, le département des droits économiques, sociaux et culturels, le département des femmes, enfants et personnes vulnérables et le département des requêtes ont présenté la situation des droits de l’homme conformément à leur cahier de charge.
Les sujets abordés lors de ce briefing sont de divers ordres. Entre autres, le conseil a déploré, la rupture du dialogue politique en lien avec la composition de la Commission électorale indépendante (CEI) avec le retrait sur la table de discussion de certains partis politique, les conflits intercommunautaires observés dans le pays, le phénomène de ‘‘Gnambros’’ qui créent des gars anarchiques dans le secteur du transport, la présence des enfants sur les sites d’orpaillages clandestins, les conditions de vie dans le milieu carcéral, les questions du droits à l’éducation avec la recrudescence des grossesses en milieu scolaire et les conditions de vie des étudiants sur les campus et les frais d’inscription ou frais annexes pour les élèves et étudiants affectés dans les écoles ou grandes écoles privées.
Selon Namizata Sangaré, la situation des droits de l’homme s’améliore de plus en plus dans le pays. « Dès que le conseil interpelle des structures au plan national, nous sentons la mise en œuvre des recommandations que nous adressons. Nous allons continuer à sensibiliser les populations sur les questions des droits de l’homme», a-t-elle fait remarquer, avant d’ajouter que : «ces rencontres périodiques que nous organisons avec les diplomates accrédités nous comptons les renforcer à partir de 2020 par des rencontres mensuelles, à l’effet de les briefer sur la situation des droits de l’homme afin qu’il ait de moins en mois des rapports internationaux produits sur la Côte d‘Ivoire».
A en croire le chef de département des requêtes de la CNDH, Oscar Bodoua, la commission à travers son mandat de protection des citoyens a été saisie sur la période du 1er janvier au 31 décembre 2018 au sujet de 1893 requêtes. Soit une variation égale à 16,79% par rapport au nombre de saisines enregistrées en 2017.
Ce rendez-vous organisée chaque trimestre, la CNDH l’a héritée de l’ex division des droits de l’homme de l’Opération des nations-unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), depuis son départ officiel du pays en juillet 2017.
Ibo/tm
Ce briefing périodique organisé par la CNDH est l’occasion pour cette institution de présenter l’évolution de la situation des droits de l’homme aux missions diplomatiques accréditées en Côte d’Ivoire.
Lors de cette rencontre, les différents départements de la CNDH, a savoir le département des droits civils et politiques, le département des droits économiques, sociaux et culturels, le département des femmes, enfants et personnes vulnérables et le département des requêtes ont présenté la situation des droits de l’homme conformément à leur cahier de charge.
Les sujets abordés lors de ce briefing sont de divers ordres. Entre autres, le conseil a déploré, la rupture du dialogue politique en lien avec la composition de la Commission électorale indépendante (CEI) avec le retrait sur la table de discussion de certains partis politique, les conflits intercommunautaires observés dans le pays, le phénomène de ‘‘Gnambros’’ qui créent des gars anarchiques dans le secteur du transport, la présence des enfants sur les sites d’orpaillages clandestins, les conditions de vie dans le milieu carcéral, les questions du droits à l’éducation avec la recrudescence des grossesses en milieu scolaire et les conditions de vie des étudiants sur les campus et les frais d’inscription ou frais annexes pour les élèves et étudiants affectés dans les écoles ou grandes écoles privées.
Selon Namizata Sangaré, la situation des droits de l’homme s’améliore de plus en plus dans le pays. « Dès que le conseil interpelle des structures au plan national, nous sentons la mise en œuvre des recommandations que nous adressons. Nous allons continuer à sensibiliser les populations sur les questions des droits de l’homme», a-t-elle fait remarquer, avant d’ajouter que : «ces rencontres périodiques que nous organisons avec les diplomates accrédités nous comptons les renforcer à partir de 2020 par des rencontres mensuelles, à l’effet de les briefer sur la situation des droits de l’homme afin qu’il ait de moins en mois des rapports internationaux produits sur la Côte d‘Ivoire».
A en croire le chef de département des requêtes de la CNDH, Oscar Bodoua, la commission à travers son mandat de protection des citoyens a été saisie sur la période du 1er janvier au 31 décembre 2018 au sujet de 1893 requêtes. Soit une variation égale à 16,79% par rapport au nombre de saisines enregistrées en 2017.
Ce rendez-vous organisée chaque trimestre, la CNDH l’a héritée de l’ex division des droits de l’homme de l’Opération des nations-unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), depuis son départ officiel du pays en juillet 2017.
Ibo/tm