Le rapport sur les droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, présenté par la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zebeyoux, a été adopté dans le cadre de la 42ème session du Conseil des Droits de l’Homme qui se tient depuis le 9 septembre 2019, à Genève.
Une délégation ivoirienne conduite par Aimée Zebeyoux, Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme se trouve à Genève dans le cadre de cette 42ème session du Conseil des Droits de l’Homme, qui se tient en Suisse depuis le 9 septembre 2019.
Le document final de la Côte d’Ivoire, défendu par la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme Mme Aimée Zebeyoux au 3ème cycle de l’Examen Périodique Universel (EPU) a été validé par le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, le jeudi 19 septembre 2019.
Cette adoption fait suite à des explications de la Secrétaire d’État chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, qui a étalé la réponse de la Côte d’Ivoire relative aux 20 recommandations qui avaient été reportées lors de la présentation du rapport national, le 7 mai 2019, à Genève.
Elle a, au cours d’une déclaration, donné la position définitive de la Côte d’Ivoire sur les recommandations reportées, tout en saluant «tous les États pour leur contribution au dialogue interactif mené avec la délégation ivoirienne ».
Les 20 recommandations, pour lesquelles les réponses définitives ont été reportées à la présente session du Conseil, portaient sur la ratification des conventions et la coopération internationale, la cohésion sociale et l’environnement, et le droit à l’éducation, indique une note transmise à APA.
L’Etat ivoirien a accepté favorablement neuf recommandations, tandis que les autres n’ont finalement pas été retenues par la Côte d’Ivoire. Mme Aimée Zébéyoux a par la suite donné les raisons du rejet des 11 recommandations.
La Secrétaire d’État chargée des Droits de l’Homme, a en outre assuré les membres du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies, que les plus hautes autorités de l’État de Côte d’Ivoire ne ménageront aucun effort, pour la mise en œuvre des 223 recommandations acceptées.
Et ce, afin d’assurer la promotion et la protection des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire et partout dans le monde.
La Côte d’Ivoire a engrangé de nombreux acquis en matière de Droits de l’Homme depuis son passage au 2ème cycle de l’EPU en 2014. Cependant, en dépit des efforts enregistrés, certains facteurs entravent encore la jouissance effective des droits humains, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels.
« Nonobstant ces contraintes, auxquelles l’Etat œuvre à trouver des solutions, mon pays demeure convaincu que le mécanisme de l’Examen Périodique Universel contribuera au progrès des Droits de l’Homme sur son territoire », a déclaré Mme Aimée Zebeyoux.
Au titre du 3ème cycle, le Conseil a « accepté en tout 223 recommandations sur les 248 qui lui ont été adressées, soit un taux de 90% », a-t-elle relevé, tout en rappelant que des actions de mise en œuvre de certaines de ces 223 recommandations ont déjà été entreprises.
Dans leurs différentes interventions les différentes délégations et des organisations non gouvernementales ont demandé l’adoption du document tout en invitant la Côte d’Ivoire à l’application effective des recommandations acceptées.
AP/ls/APA
Une délégation ivoirienne conduite par Aimée Zebeyoux, Secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme se trouve à Genève dans le cadre de cette 42ème session du Conseil des Droits de l’Homme, qui se tient en Suisse depuis le 9 septembre 2019.
Le document final de la Côte d’Ivoire, défendu par la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’Homme Mme Aimée Zebeyoux au 3ème cycle de l’Examen Périodique Universel (EPU) a été validé par le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, le jeudi 19 septembre 2019.
Cette adoption fait suite à des explications de la Secrétaire d’État chargée des Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, qui a étalé la réponse de la Côte d’Ivoire relative aux 20 recommandations qui avaient été reportées lors de la présentation du rapport national, le 7 mai 2019, à Genève.
Elle a, au cours d’une déclaration, donné la position définitive de la Côte d’Ivoire sur les recommandations reportées, tout en saluant «tous les États pour leur contribution au dialogue interactif mené avec la délégation ivoirienne ».
Les 20 recommandations, pour lesquelles les réponses définitives ont été reportées à la présente session du Conseil, portaient sur la ratification des conventions et la coopération internationale, la cohésion sociale et l’environnement, et le droit à l’éducation, indique une note transmise à APA.
L’Etat ivoirien a accepté favorablement neuf recommandations, tandis que les autres n’ont finalement pas été retenues par la Côte d’Ivoire. Mme Aimée Zébéyoux a par la suite donné les raisons du rejet des 11 recommandations.
La Secrétaire d’État chargée des Droits de l’Homme, a en outre assuré les membres du Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies, que les plus hautes autorités de l’État de Côte d’Ivoire ne ménageront aucun effort, pour la mise en œuvre des 223 recommandations acceptées.
Et ce, afin d’assurer la promotion et la protection des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire et partout dans le monde.
La Côte d’Ivoire a engrangé de nombreux acquis en matière de Droits de l’Homme depuis son passage au 2ème cycle de l’EPU en 2014. Cependant, en dépit des efforts enregistrés, certains facteurs entravent encore la jouissance effective des droits humains, en particulier les droits économiques, sociaux et culturels.
« Nonobstant ces contraintes, auxquelles l’Etat œuvre à trouver des solutions, mon pays demeure convaincu que le mécanisme de l’Examen Périodique Universel contribuera au progrès des Droits de l’Homme sur son territoire », a déclaré Mme Aimée Zebeyoux.
Au titre du 3ème cycle, le Conseil a « accepté en tout 223 recommandations sur les 248 qui lui ont été adressées, soit un taux de 90% », a-t-elle relevé, tout en rappelant que des actions de mise en œuvre de certaines de ces 223 recommandations ont déjà été entreprises.
Dans leurs différentes interventions les différentes délégations et des organisations non gouvernementales ont demandé l’adoption du document tout en invitant la Côte d’Ivoire à l’application effective des recommandations acceptées.
AP/ls/APA