Au terme de trois jours de renforcement de capacité sur « la rédaction de projet de recherche et recherche de financement », plusieurs jeunes doctorants de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), ont reçu ce vendredi 20 septembre au Pôle Scientifique de Bingerville, leurs attestations de participation.
Cette cérémonie de remise d’attestation de participation à la formation en rédaction de projet de recherche bancable a été présidée par le Vice-président de l’UFHB, chargé de la recherche et de l’innovation, Pr Abdoulaye Sangaré.
Le porte-parole des formateurs, Pr Lassiné Ouattara, a d’abord félicité les doctorants pour leur assiduité et participation active à cette formation utile devant leur permettre de bien rédiger des projets de recherche bancables pour l’obtention de financement.
Selon lui, les bailleurs de fonds existent et attendent les projets de recherche, ce pourquoi, il a encouragé ces doctorants à mettre en application tous les acquis de cet atelier pour monter de bons projets, afin de bénéficier des financements pour booster et finir dans de très bonnes conditions leurs travaux de recherche.
Quant au porte-parole de la vingtaine de doctorants qui ont été formés par le PASRES (Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique), Alassane Koné, doctorant à l’UFR Bioscience, il avoue que cette formation leur a permis d’être aptes à rédiger un projet. Il connaît désormais les attentes des bailleurs de fonds. « Nous avons les rudiments pour postuler à des appels à projets », a-t-il affirmé.
Il n’a pas manqué de citer les modules de cette formation : la note conceptuelle de projets, l’évaluation de l’impact et des différents risques d’un projet, la budgétisation d’un projet, la rédaction du contexte d’un projet.
Aux dires du président du comité de pilotage, Biaka Zasseli, cette formation s’apparente à un bilan depuis que le PASRES a institué le renforcement de capacités des chercheurs et enseignants-chercheurs. Une initiative scientifique qui connaît un bon qualitatif par rapport à la qualité des soumissions et projets, ensuite par rapport à la rapidité avec laquelle les étudiants arrivent à faire leur thèse.
« Ceux qui suivent la formation au lieu de faire leur thèse en 5 ans, arrivent très souvent à finir leur thèse en 3 ans qui est le délais imparti par les universités. Je pense que le renforcement de capacités à un impact bénéfique sur la relève scientifique », a-t-il fait savoir
JOB
Cette cérémonie de remise d’attestation de participation à la formation en rédaction de projet de recherche bancable a été présidée par le Vice-président de l’UFHB, chargé de la recherche et de l’innovation, Pr Abdoulaye Sangaré.
Le porte-parole des formateurs, Pr Lassiné Ouattara, a d’abord félicité les doctorants pour leur assiduité et participation active à cette formation utile devant leur permettre de bien rédiger des projets de recherche bancables pour l’obtention de financement.
Selon lui, les bailleurs de fonds existent et attendent les projets de recherche, ce pourquoi, il a encouragé ces doctorants à mettre en application tous les acquis de cet atelier pour monter de bons projets, afin de bénéficier des financements pour booster et finir dans de très bonnes conditions leurs travaux de recherche.
Quant au porte-parole de la vingtaine de doctorants qui ont été formés par le PASRES (Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique), Alassane Koné, doctorant à l’UFR Bioscience, il avoue que cette formation leur a permis d’être aptes à rédiger un projet. Il connaît désormais les attentes des bailleurs de fonds. « Nous avons les rudiments pour postuler à des appels à projets », a-t-il affirmé.
Il n’a pas manqué de citer les modules de cette formation : la note conceptuelle de projets, l’évaluation de l’impact et des différents risques d’un projet, la budgétisation d’un projet, la rédaction du contexte d’un projet.
Aux dires du président du comité de pilotage, Biaka Zasseli, cette formation s’apparente à un bilan depuis que le PASRES a institué le renforcement de capacités des chercheurs et enseignants-chercheurs. Une initiative scientifique qui connaît un bon qualitatif par rapport à la qualité des soumissions et projets, ensuite par rapport à la rapidité avec laquelle les étudiants arrivent à faire leur thèse.
« Ceux qui suivent la formation au lieu de faire leur thèse en 5 ans, arrivent très souvent à finir leur thèse en 3 ans qui est le délais imparti par les universités. Je pense que le renforcement de capacités à un impact bénéfique sur la relève scientifique », a-t-il fait savoir
JOB