« Pendant une période de 12 mois, les Forces Armées de Côte d’Ivoire (FACI) ont été mises sous observation par le Conseil de Sécurité afin de s’assurer qu’aucun acte de Violence Sexuelle n’a été commis par des éléments des FACI. Au final, notre pays a été retiré de cette liste noire ».
Voici l’information qu’a donnée Namizata Sangaré, présidente du CNDH (Conseil national des droits de l’homme), ce mercredi 25 septembre, à Grand Bassam, à l’ouverture d’un atelier d’évaluation et de planification des activités 2019-2021 du Mécanisme CNDH-FACI-PNUD. Les Forces Armées de Côte d’Ivoire y étaient représentées par le Général de Brigade, Kouamé N’Dri Julien Sébastien, Chef d’Etat-major adjoint des armées.
Conjointement initié, depuis aout 2015 par le CNDH avec les FACI et la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), avec l’appui du PNUD, le « MECA » est un mécanisme qui vient offrir un meilleur suivi des cas de violation des Droits de l’Homme imputables aux éléments des forces armées.
Et, il se constitue en une plateforme de rencontre et d’échanges relatifs au bien être et à la protection des droits de l’homme des éléments des forces armées.
« Au fil du temps, cette plateforme a fini par son originalité et la qualité de son rendement, par se poser comme un outil de référence, en matière de collaboration entre deux mécanismes de protection des droits de l’homme », a indiqué la présidente du CNDH, Namizata Sangaré.
Après donc quatre ans de fonctionnement, cet atelier vient à point nommé pour permettre aux acteurs du MECA d’évaluer son organisation et son fonctionnement. Il s’agit par la même occasion, de faire un bilan des mécanismes régionaux pour renforcer les capacités et l’implication des points focaux des régions militaires dans la conception et la mise en œuvre du plan d’actions 2019-2021 du mécanisme.
Fort des avantages considérables que présente le MECA, le Chef d’Etat-major adjoint des armées, Kouamé N’Dri Julien, a salué le partenariat CNDH-FACI-PNUD qui l’a conçu. Selon lui grâce à ce projet qui rétablit le militaire dans sa dignité d’homme, les cas de violations de droits de l’homme dans leurs rangs sont quasiment inexistants en Côte d’Ivoire.
JOB
Voici l’information qu’a donnée Namizata Sangaré, présidente du CNDH (Conseil national des droits de l’homme), ce mercredi 25 septembre, à Grand Bassam, à l’ouverture d’un atelier d’évaluation et de planification des activités 2019-2021 du Mécanisme CNDH-FACI-PNUD. Les Forces Armées de Côte d’Ivoire y étaient représentées par le Général de Brigade, Kouamé N’Dri Julien Sébastien, Chef d’Etat-major adjoint des armées.
Conjointement initié, depuis aout 2015 par le CNDH avec les FACI et la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), avec l’appui du PNUD, le « MECA » est un mécanisme qui vient offrir un meilleur suivi des cas de violation des Droits de l’Homme imputables aux éléments des forces armées.
Et, il se constitue en une plateforme de rencontre et d’échanges relatifs au bien être et à la protection des droits de l’homme des éléments des forces armées.
« Au fil du temps, cette plateforme a fini par son originalité et la qualité de son rendement, par se poser comme un outil de référence, en matière de collaboration entre deux mécanismes de protection des droits de l’homme », a indiqué la présidente du CNDH, Namizata Sangaré.
Après donc quatre ans de fonctionnement, cet atelier vient à point nommé pour permettre aux acteurs du MECA d’évaluer son organisation et son fonctionnement. Il s’agit par la même occasion, de faire un bilan des mécanismes régionaux pour renforcer les capacités et l’implication des points focaux des régions militaires dans la conception et la mise en œuvre du plan d’actions 2019-2021 du mécanisme.
Fort des avantages considérables que présente le MECA, le Chef d’Etat-major adjoint des armées, Kouamé N’Dri Julien, a salué le partenariat CNDH-FACI-PNUD qui l’a conçu. Selon lui grâce à ce projet qui rétablit le militaire dans sa dignité d’homme, les cas de violations de droits de l’homme dans leurs rangs sont quasiment inexistants en Côte d’Ivoire.
JOB