COULIBALY-KUIBIERT Ibrahime, nouveau Président de la Commission Electorale Indépendante (CEI), a pris les rênes de l’Institution, ce mardi 02 octobre 2019, lors d’une cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur Youssouf Bakayoko à leur siège.
A cette occasion, il a rendu un vibrant hommage à ce dernier. « M. le Président, lors de mon dernier passage ici en tant que commissaire en 2011, alors que tout le monde craignait Yopougon, vous m’avez désigné pour y superviser les élections », a-t-il témoigné. « Vous m’avez rassuré que tout se passera bien et tout s’est bien passé ». Il a ensuite ajouté que le Présidant Bakayoko est « un homme devoir ». « Nous viendrons régulièrement nous abreuver à votre source d’expérience », a insisté le Président COULIBALY-KUIBIERT.
Pour part, le Président Youssouf Bakayoko a fait un bilan succinct de son passage à la tête de la CEI. « La "moisson", si vous me permettez d’utiliser cette expression, a été abondante et notre Commission Centrale peut s’en enorgueillir, à juste titre », a-t-il affirmé. « Elle peut même en tirer satisfaction et fierté, et ce d’autant plus que tous les observateurs internationaux et nationaux crédibles de la conduite des processus électoraux dans notre pays ont été unanimes pour saluer la bonne réalisation des opérations menées par notre Institution et la transparence des scrutins qu’elle a eu à organiser ».
Le président sortant de la Cei n’a toutefois pas omis de noter que les embûches ont été nombreuses. « Je voudrais relever une des plus préoccupantes dans la conduite de nos missions », a indiqué Youssouf Bakayoko. « Il s’agit de la tendance sinon de l’inclination au non du respect des règles du jeu démocratique par une certaine frange des chapelles politiques ». Pour lui, « le respect, par tous, du Droit et de la Loi », est extrêmement important. « Il importe donc, Monsieur le Président, que la CEI amplifie, de concert avec les autorités étatiques compétentes et les organisations de la Société Civile, ses actions de sensibilisation de notre classe politique et de nos populations, à la conscience citoyenne, à la promotion de nos lois électorales, c’est-à-dire au respect strict des règles du jeu démocratique ».
A cette occasion, il a rendu un vibrant hommage à ce dernier. « M. le Président, lors de mon dernier passage ici en tant que commissaire en 2011, alors que tout le monde craignait Yopougon, vous m’avez désigné pour y superviser les élections », a-t-il témoigné. « Vous m’avez rassuré que tout se passera bien et tout s’est bien passé ». Il a ensuite ajouté que le Présidant Bakayoko est « un homme devoir ». « Nous viendrons régulièrement nous abreuver à votre source d’expérience », a insisté le Président COULIBALY-KUIBIERT.
Pour part, le Président Youssouf Bakayoko a fait un bilan succinct de son passage à la tête de la CEI. « La "moisson", si vous me permettez d’utiliser cette expression, a été abondante et notre Commission Centrale peut s’en enorgueillir, à juste titre », a-t-il affirmé. « Elle peut même en tirer satisfaction et fierté, et ce d’autant plus que tous les observateurs internationaux et nationaux crédibles de la conduite des processus électoraux dans notre pays ont été unanimes pour saluer la bonne réalisation des opérations menées par notre Institution et la transparence des scrutins qu’elle a eu à organiser ».
Le président sortant de la Cei n’a toutefois pas omis de noter que les embûches ont été nombreuses. « Je voudrais relever une des plus préoccupantes dans la conduite de nos missions », a indiqué Youssouf Bakayoko. « Il s’agit de la tendance sinon de l’inclination au non du respect des règles du jeu démocratique par une certaine frange des chapelles politiques ». Pour lui, « le respect, par tous, du Droit et de la Loi », est extrêmement important. « Il importe donc, Monsieur le Président, que la CEI amplifie, de concert avec les autorités étatiques compétentes et les organisations de la Société Civile, ses actions de sensibilisation de notre classe politique et de nos populations, à la conscience citoyenne, à la promotion de nos lois électorales, c’est-à-dire au respect strict des règles du jeu démocratique ».