Un atelier de réflexion sur la mise en œuvre et le suivi des recommandations du 3è cycle de l’Examen périodique universel (EPU) de la Côte d’Ivoire, s’est ouvert mercredi au siège du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), en vue de mettre en place un plan d’actions stratégiques visant à adresser ces recommandations.
Cet atelier a enregistré la présence de Laura Sinner, chargée de Programme de suivi de UPR Info pour les pays d’Asie, d’Afrique et bientôt de l’Amérique Latine. Elle s’est félicitée de l’implication des organisations de la société civile et du CNDH qui ont un rôle essentiel à jouer pour la phase de mise en œuvre des recommandations.
En juillet dernier, UPR Info a commencé à développer des stratégies d’actions dans le cadre de la mise en œuvre et du suivi des recommandations entraînées par le Conseil des droits de l’Homme lors de sa 42è session, tenue à Genève, en Suisse.
L’objectif de cet atelier qui est de consolider les acquis, devrait permettre de mettre en œuvre dans les quatre prochaines années ces recommandations. Cet atelier est financé par UPR Info, avec l’appui logistique du Conseil national des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Le 19 septembre 2019, la Côte d’Ivoire a formulé 247 recommandations auprès du Conseil des droits de l’Homme et 222 ont été acceptées puis 25 notées. Sur 20 recommandations laissées en suspend, sur lesquels UPR Info a travaillé en juillet dernier, 9 supplémentaires ont été acceptées et 11 notées.
Marthe Coulibaly, coordinatrice du Comité EPU Côte d’Ivoire, a fait observer que cet atelier sur la mise en œuvre et le suivi des recommandations du 3è cycle de l’EPU, vise à mettre en place un plan stratégique concret pour une implication efficace dans le suivi de la mise en œuvre des recommandations.
Marie Paule Kodjo, vice-présidente du CNDH, qui a procédé à l’ouverture de cet atelier, a souligné qu’il a pour but de « fournir aux participants des informations et des réactions de la société civile concernant leur plaidoyer en faveur de l’acceptation des recommandations de l’EPU ».
A l’issue de la 42ème session du Conseil des Droits de l’Homme, les recommandations du troisième cycle de l’EPU de la Côte d’Ivoire ont été adoptées, le 19 septembre 2019. A la suite de l’évaluation, il ressort 247 recommandations formulées par les délégations d’Etats; 213 recommandations acceptées immédiatement par la Côte d’Ivoire; 20 recommandations reportées pour consultation à Abidjan et 14 recommandations notées (refusées).
La Côte d’Ivoire a accepté 9 nouvelles recommandations qu’elle avait notées. Ce qui donne désormais un total de 222 recommandations acceptées. En vue de la mise en oeuvre de ces recommandations le Comité EPU Côte d’Ivoire, en collaboration avec le CNDH a initié cette plate-forme de réflexion.
Au terme de cet atelier, « vous devrez acquérir les outils et avoir l’approche méthodologique pour comprendre l’importance d’identifier, d’adapter, de développer et d’utiliser des indicateurs pour évaluer la mise en œuvre des recommandations », a dit Mme Marie Paule Kodjo aux participants.
AP/ls/APA
Cet atelier a enregistré la présence de Laura Sinner, chargée de Programme de suivi de UPR Info pour les pays d’Asie, d’Afrique et bientôt de l’Amérique Latine. Elle s’est félicitée de l’implication des organisations de la société civile et du CNDH qui ont un rôle essentiel à jouer pour la phase de mise en œuvre des recommandations.
En juillet dernier, UPR Info a commencé à développer des stratégies d’actions dans le cadre de la mise en œuvre et du suivi des recommandations entraînées par le Conseil des droits de l’Homme lors de sa 42è session, tenue à Genève, en Suisse.
L’objectif de cet atelier qui est de consolider les acquis, devrait permettre de mettre en œuvre dans les quatre prochaines années ces recommandations. Cet atelier est financé par UPR Info, avec l’appui logistique du Conseil national des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire.
Le 19 septembre 2019, la Côte d’Ivoire a formulé 247 recommandations auprès du Conseil des droits de l’Homme et 222 ont été acceptées puis 25 notées. Sur 20 recommandations laissées en suspend, sur lesquels UPR Info a travaillé en juillet dernier, 9 supplémentaires ont été acceptées et 11 notées.
Marthe Coulibaly, coordinatrice du Comité EPU Côte d’Ivoire, a fait observer que cet atelier sur la mise en œuvre et le suivi des recommandations du 3è cycle de l’EPU, vise à mettre en place un plan stratégique concret pour une implication efficace dans le suivi de la mise en œuvre des recommandations.
Marie Paule Kodjo, vice-présidente du CNDH, qui a procédé à l’ouverture de cet atelier, a souligné qu’il a pour but de « fournir aux participants des informations et des réactions de la société civile concernant leur plaidoyer en faveur de l’acceptation des recommandations de l’EPU ».
A l’issue de la 42ème session du Conseil des Droits de l’Homme, les recommandations du troisième cycle de l’EPU de la Côte d’Ivoire ont été adoptées, le 19 septembre 2019. A la suite de l’évaluation, il ressort 247 recommandations formulées par les délégations d’Etats; 213 recommandations acceptées immédiatement par la Côte d’Ivoire; 20 recommandations reportées pour consultation à Abidjan et 14 recommandations notées (refusées).
La Côte d’Ivoire a accepté 9 nouvelles recommandations qu’elle avait notées. Ce qui donne désormais un total de 222 recommandations acceptées. En vue de la mise en oeuvre de ces recommandations le Comité EPU Côte d’Ivoire, en collaboration avec le CNDH a initié cette plate-forme de réflexion.
Au terme de cet atelier, « vous devrez acquérir les outils et avoir l’approche méthodologique pour comprendre l’importance d’identifier, d’adapter, de développer et d’utiliser des indicateurs pour évaluer la mise en œuvre des recommandations », a dit Mme Marie Paule Kodjo aux participants.
AP/ls/APA