Le procès du président du Conseil régional du Gbêkê (Centre-Nord ivoirien) et vice-président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, ex-allié au pouvoir) Jacques Mangoua jugé pour « détention illégale de munitions » s'est ouvert jeudi à Bouaké (Centre-Nord) sous haute surveillance policière.
Non loin du palais de justice de Bouaké, des centaines de partisans de M. Mangoua ont manifesté pour réclamer sa libération. « Je pense qu'aujourd'hui la vérité va sortir», a affirmé le prévenu à l'ouverture de son procès.
Jacques Mangoua, a été placé sous mandat de dépôt lundi dernier pour « détention illégale de 991 munitions d'armes de guerre, 49 munitions de fusils calibre 12 et 40 machettes».
Selon les autorités judiciaires qui ont ainsi ouvert une procédure de flagrant délit, cette découverte aurait été faite au domicile de M. Mangoua à N'Guessankro, son village natal dans le département de Béoumi à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de Bouaké.
PIG/LB/ls/APA
Non loin du palais de justice de Bouaké, des centaines de partisans de M. Mangoua ont manifesté pour réclamer sa libération. « Je pense qu'aujourd'hui la vérité va sortir», a affirmé le prévenu à l'ouverture de son procès.
Jacques Mangoua, a été placé sous mandat de dépôt lundi dernier pour « détention illégale de 991 munitions d'armes de guerre, 49 munitions de fusils calibre 12 et 40 machettes».
Selon les autorités judiciaires qui ont ainsi ouvert une procédure de flagrant délit, cette découverte aurait été faite au domicile de M. Mangoua à N'Guessankro, son village natal dans le département de Béoumi à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de Bouaké.
PIG/LB/ls/APA