Yamoussoukro – Le Sénat a adopté, lundi, en commission, le projet de loi modifiant l’ordonnance 2011-367 du 03 novembre 2011 portant règlement des systèmes financiers décentralisées présenté par le ministre ivoirien de l’Economie et des Finances, Coulibaly Adama.
L’adoption de cette nouvelle loi met la Côte d’Ivoire au diapason des autres pays membres de l’espace communautaire UEMOA ( union monétaire ouest africaine) et offre aussi bien aux populations qu’aux petites et moyennes entreprises d’autres voies de financements.
«Cela permettra aux populations d’avoir accès à une gamme additionnelle au système financier. Cela veut dire que d’ici quelque temps nous allons avoir nos populations qui vont au-delà des facilités existantes pouvoir accéder à des systèmes financiers régis par la finance islamique…c’est une question de facilité, une option additionnelle qui est donnée aux populations de pouvoir accéder à des ressources pour financer leurs activités », a souligné le ministre de l’Economie et des Finances.
Avec cette gamme supplémentaire de services financiers c’est l’accroissement de l’accessibilité des personnes vulnérables aux ressources financières qui est visé par les autorités ivoiriennes, a-t-on appris. La finance islamique peut ainsi s’avérer un instrument important de lutte contre la pauvreté. Elle obéit à trois principes que sont l’interdiction des prêts à taux d’intérêt usuraires, la prohibition de la spéculation au niveau de la finance.
De même l’interdiction du financement « d’activités qui peuvent être considérées comme des activités jugées illicites ou des activités qui ont un caractère immoral comme les jeux d’argent le financement de la prostitution, des activités qui heurtent véritablement la morale ».
gso/ask
L’adoption de cette nouvelle loi met la Côte d’Ivoire au diapason des autres pays membres de l’espace communautaire UEMOA ( union monétaire ouest africaine) et offre aussi bien aux populations qu’aux petites et moyennes entreprises d’autres voies de financements.
«Cela permettra aux populations d’avoir accès à une gamme additionnelle au système financier. Cela veut dire que d’ici quelque temps nous allons avoir nos populations qui vont au-delà des facilités existantes pouvoir accéder à des systèmes financiers régis par la finance islamique…c’est une question de facilité, une option additionnelle qui est donnée aux populations de pouvoir accéder à des ressources pour financer leurs activités », a souligné le ministre de l’Economie et des Finances.
Avec cette gamme supplémentaire de services financiers c’est l’accroissement de l’accessibilité des personnes vulnérables aux ressources financières qui est visé par les autorités ivoiriennes, a-t-on appris. La finance islamique peut ainsi s’avérer un instrument important de lutte contre la pauvreté. Elle obéit à trois principes que sont l’interdiction des prêts à taux d’intérêt usuraires, la prohibition de la spéculation au niveau de la finance.
De même l’interdiction du financement « d’activités qui peuvent être considérées comme des activités jugées illicites ou des activités qui ont un caractère immoral comme les jeux d’argent le financement de la prostitution, des activités qui heurtent véritablement la morale ».
gso/ask