L'ex-président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro a porté plainte contre X devant la justice espagnole après son arrestation manquée par des policiers à Barcelone la semaine dernière, ont annoncé mercredi ses avocats espagnols du cabinet Del Castillo.
« La plainte est portée contre X devant le juge espagnol de garde à Barcelone. Nous demandons au juge de diligenter une enquête pour savoir la vérité sur les faits, sur ce qui se sont passés. La procédure, c'est d'expliquer avec une enquête ce qui s'est passée», a dit Berthe Castillo, l'un des avocats espagnols de M. Soro dans une conférence de presse diffusée en direct sur la toile depuis Barcelone.
« Nous ne portons pas plainte contre la police. Mais, nous voulons savoir ce qui s'est passé. Pourquoi la police est partie dans la chambre de M. Soro? Nous mettons en marche cette procédure pour rechercher les responsables de son arrestation manquée », a expliqué le conseil de M. Soro.
Poursuivant, elle a soutenu qu'après l'enquête, « si c'est un délit qui demande une peine de prison, on va la demander ». Mme Castillo qui dit « avoir foi» aux explications données par son client sur les faits, dit également détenir des « indices de preuves ».
Le ministère ivoirien des Affaires Étrangères a « démenti formellement » mardi dans un communiqué les « allégations » de M. Soro «tendant à incriminer les autorités ivoiriennes » après son arrestation manquée dans la nuit du 07 au 08 octobre dernier dans un hôtel à Barcelone ( Espagne).
Selon M. Soro, au petit matin du mardi 08 octobre 2019, des policiers espagnols armés de pistolets automatiques et de Talkies-walkies ont fait irruption dans la chambre 521 de l'hôtel El Palace de Barcelone en Espagne où il séjournait prétextant exécuter un mandat émis par Interpol.
L'ancien président du parlement ivoirien qui s'est déclaré candidat pour la présidentielle ivoirienne de 2020, a rencontré dans le cadre d'une rencontre politique, la diaspora ivoirienne en Espagne après cette arrestation manquée.
LB/ls/APA
« La plainte est portée contre X devant le juge espagnol de garde à Barcelone. Nous demandons au juge de diligenter une enquête pour savoir la vérité sur les faits, sur ce qui se sont passés. La procédure, c'est d'expliquer avec une enquête ce qui s'est passée», a dit Berthe Castillo, l'un des avocats espagnols de M. Soro dans une conférence de presse diffusée en direct sur la toile depuis Barcelone.
« Nous ne portons pas plainte contre la police. Mais, nous voulons savoir ce qui s'est passé. Pourquoi la police est partie dans la chambre de M. Soro? Nous mettons en marche cette procédure pour rechercher les responsables de son arrestation manquée », a expliqué le conseil de M. Soro.
Poursuivant, elle a soutenu qu'après l'enquête, « si c'est un délit qui demande une peine de prison, on va la demander ». Mme Castillo qui dit « avoir foi» aux explications données par son client sur les faits, dit également détenir des « indices de preuves ».
Le ministère ivoirien des Affaires Étrangères a « démenti formellement » mardi dans un communiqué les « allégations » de M. Soro «tendant à incriminer les autorités ivoiriennes » après son arrestation manquée dans la nuit du 07 au 08 octobre dernier dans un hôtel à Barcelone ( Espagne).
Selon M. Soro, au petit matin du mardi 08 octobre 2019, des policiers espagnols armés de pistolets automatiques et de Talkies-walkies ont fait irruption dans la chambre 521 de l'hôtel El Palace de Barcelone en Espagne où il séjournait prétextant exécuter un mandat émis par Interpol.
L'ancien président du parlement ivoirien qui s'est déclaré candidat pour la présidentielle ivoirienne de 2020, a rencontré dans le cadre d'une rencontre politique, la diaspora ivoirienne en Espagne après cette arrestation manquée.
LB/ls/APA