Loin du sol du Burkina Faso où on pourrait mettre le grappin sur lui pour l’affaire ‘’des écoutes téléphoniques’’ dans le putsch manqué de septembre 2015 dans ce pays, l’ancien PAN ivoirien s’était permis de ‘’narguer et défier’’ les autorités burkinabé et ivoirienne avec ce bout de phrase : ‘’je mets quiconque au défi de m’arrêter’’… Effet boomerang, il se préparerait quelque chose depuis le Burkina Faso contre l’ancien chef rebelle ivoirien non repenti, Soro Kigbafori Guillaume.
‘’Trop parler, c’est maladie’’, dit le citoyen lambda dans un français approximatif. Cette maxime populaire est-elle en train de courir vers son accomplissement dans la vie de l’ex-PAN ivoirien, Soro Kigbafori Guillaume ? Apprendra-t-il très bientôt à ses dépens qu’on n’est pas puissant tout le temps ? Ce que l’on sait pour le moment, c’est que les autorités burkinabé n’ont pas du tout apprécié la dernière sortie de ‘’Bogota’’ sur les ondes de RFI, la radio mondiale, et sur le petit écran de France 24. Une provocation inutile et de trop, surtout avec ce qui pue le mensonge grossier. Cette affaire d’être blanchi dans l’affaire ‘’d’écoutes téléphoniques’’ révolte la justice du pays des ‘’hommes intègres’’. L’ancien PAN ivoirien a-t-il joué avec le feu alors qu’il était vraiment attendu à la barre pour s’expliquer ? S’est-il fait hara-kiri avec ce baroud d’honneur ? Qui voulait-il ainsi séduire ou épater pour passer pour un homme qui n’a pas de ‘’passé sulfureux’’ ? A-t-il craché ce jour-là en l’air et doit s’attendre ces prochains jours à ‘’l’opération : retour à l’envoyeur’’ ? La météo ne s’annonce pas du tout bonne pour le ‘’député RDR, ’’réfugié’’ depuis des temps immémoriaux en Europe. Une tempête se prépare contre lui. Et elle viendra des autorités burkinabé pour son implication avérée dans l’affaire des ‘’écoutes téléphoniques’’ pendant le coup d’état manqué de septembre 2015 au Burkina Faso. Ses ‘’deux contacts’’ dans ledit pays, ‘’cerveaux’’ de ce putsch manqué ont été récemment condamnés à des peines allant de 15 à 20 ans de prison ferme. Seul Soro Kigbafori Guillaume a ‘’échappé’’ à la décision de justice. N’ayant pas répondu à la convocation de la justice de ce pays pour avoir été abondamment cité dans ce putsch manqué, l’Ivoirien Soro Kigbafori Guillaume aurait ‘’aggravé’’ sa situation avec ‘’un délit de fuite et entorse’’ à la justice burkinabé. Au lieu de se tenir coi, l’homme se serait illustré publiquement depuis la France en un ‘’intouchable’’, s’autoproclamant, sans vergogne, ‘’blanchi’’ dans ‘’l’affaire découverte des armes à la résidence de son Directeur de protocole hier, Kamaraté Souleymane dit Soul to Soul et même dans le procès du coup d’état manqué au Burkina Faso’’. Soro Guillaume s’est-il ‘’moqué’’ des autorités du pays des ‘’hommes intègres’’ ? Les a-t-il aussi nargués, défiés ? Il a cherché, il a trouvé. L’affaire des ‘’écoutes téléphoniques’’ aurait été relancée depuis quelques jours avec un mandat d’amener international. Il serait aujourd’hui au stade de signature et de publication à Interpol. Pour qui donc sonne le glas ? Fin de parcours pour le ‘’jeune homme irrespectueux, insolent et vaniteux’’ ? Les nouvelles en provenance du Burkina Faso ne sont pas du tout bonnes pour le ‘’super puissant’’ de Côte d’Ivoire. Les choses pourraient devenir bien amères pour lui avec des limitations de voyages dans les pays à hauts risques qui pourraient le remettre aux mains des autorités burkinabé pour le rôle qu’il aurait joué hier dans le coup d’état qui a failli emporter le président Roch Marc Christian Kaboré et son régime. Au lieu d’avoir un profil bas, Soro Guillaume vient ‘’d’actionner’’ lui-même la justice burkinabé qui s’apprêterait à mettre le grappin sur lui. Le ‘’hyperpuissant’’ de la Côte d’Ivoire et de toute la terre va-t-il continuer à narguer et défier tout le monde tout le temps ? ‘’Il y a un temps pour semer et un temps pour récolter’’, disent les Saintes Ecritures dans le livre de l’Ecclésiaste que cet ancien séminariste connaît très bien. Adieu la présidentielle 2020 dans son pays ? Le Burkina Faso et sa justice nous le diront certainement les mois à venir.
Igor Wawayou
‘’Trop parler, c’est maladie’’, dit le citoyen lambda dans un français approximatif. Cette maxime populaire est-elle en train de courir vers son accomplissement dans la vie de l’ex-PAN ivoirien, Soro Kigbafori Guillaume ? Apprendra-t-il très bientôt à ses dépens qu’on n’est pas puissant tout le temps ? Ce que l’on sait pour le moment, c’est que les autorités burkinabé n’ont pas du tout apprécié la dernière sortie de ‘’Bogota’’ sur les ondes de RFI, la radio mondiale, et sur le petit écran de France 24. Une provocation inutile et de trop, surtout avec ce qui pue le mensonge grossier. Cette affaire d’être blanchi dans l’affaire ‘’d’écoutes téléphoniques’’ révolte la justice du pays des ‘’hommes intègres’’. L’ancien PAN ivoirien a-t-il joué avec le feu alors qu’il était vraiment attendu à la barre pour s’expliquer ? S’est-il fait hara-kiri avec ce baroud d’honneur ? Qui voulait-il ainsi séduire ou épater pour passer pour un homme qui n’a pas de ‘’passé sulfureux’’ ? A-t-il craché ce jour-là en l’air et doit s’attendre ces prochains jours à ‘’l’opération : retour à l’envoyeur’’ ? La météo ne s’annonce pas du tout bonne pour le ‘’député RDR, ’’réfugié’’ depuis des temps immémoriaux en Europe. Une tempête se prépare contre lui. Et elle viendra des autorités burkinabé pour son implication avérée dans l’affaire des ‘’écoutes téléphoniques’’ pendant le coup d’état manqué de septembre 2015 au Burkina Faso. Ses ‘’deux contacts’’ dans ledit pays, ‘’cerveaux’’ de ce putsch manqué ont été récemment condamnés à des peines allant de 15 à 20 ans de prison ferme. Seul Soro Kigbafori Guillaume a ‘’échappé’’ à la décision de justice. N’ayant pas répondu à la convocation de la justice de ce pays pour avoir été abondamment cité dans ce putsch manqué, l’Ivoirien Soro Kigbafori Guillaume aurait ‘’aggravé’’ sa situation avec ‘’un délit de fuite et entorse’’ à la justice burkinabé. Au lieu de se tenir coi, l’homme se serait illustré publiquement depuis la France en un ‘’intouchable’’, s’autoproclamant, sans vergogne, ‘’blanchi’’ dans ‘’l’affaire découverte des armes à la résidence de son Directeur de protocole hier, Kamaraté Souleymane dit Soul to Soul et même dans le procès du coup d’état manqué au Burkina Faso’’. Soro Guillaume s’est-il ‘’moqué’’ des autorités du pays des ‘’hommes intègres’’ ? Les a-t-il aussi nargués, défiés ? Il a cherché, il a trouvé. L’affaire des ‘’écoutes téléphoniques’’ aurait été relancée depuis quelques jours avec un mandat d’amener international. Il serait aujourd’hui au stade de signature et de publication à Interpol. Pour qui donc sonne le glas ? Fin de parcours pour le ‘’jeune homme irrespectueux, insolent et vaniteux’’ ? Les nouvelles en provenance du Burkina Faso ne sont pas du tout bonnes pour le ‘’super puissant’’ de Côte d’Ivoire. Les choses pourraient devenir bien amères pour lui avec des limitations de voyages dans les pays à hauts risques qui pourraient le remettre aux mains des autorités burkinabé pour le rôle qu’il aurait joué hier dans le coup d’état qui a failli emporter le président Roch Marc Christian Kaboré et son régime. Au lieu d’avoir un profil bas, Soro Guillaume vient ‘’d’actionner’’ lui-même la justice burkinabé qui s’apprêterait à mettre le grappin sur lui. Le ‘’hyperpuissant’’ de la Côte d’Ivoire et de toute la terre va-t-il continuer à narguer et défier tout le monde tout le temps ? ‘’Il y a un temps pour semer et un temps pour récolter’’, disent les Saintes Ecritures dans le livre de l’Ecclésiaste que cet ancien séminariste connaît très bien. Adieu la présidentielle 2020 dans son pays ? Le Burkina Faso et sa justice nous le diront certainement les mois à venir.
Igor Wawayou