Le ministre ivoirien de la Communication et des médias, par ailleurs porte-parole du gouvernement Sidi Tiémoko Touré, a invité mercredi à Abidjan, l’ancien président du parlement ivoirien Guillaume Soro à « se ressaisir» estimant que «quand on a occupé de hautes fonctions, on doit savoir dire le mot qu’il faut ».
M. Touré s’exprimait dans une conférence de presse au terme d’un Conseil des ministres présidé au palais présidentiel d’Abidjan par le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara. Le porte-voix de l’exécutif ivoirien répondait à la préoccupation d’un journaliste qui souhaitait avoir la position du gouvernement ivoirien sur une affirmation de Kobenan Kouassi Adjoumani, le porte-parole du parti présidentiel (RHDP, Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix) qui a indiqué dans une interview que « Guillaume Soro pourrait être invité à apporter des éclaircis sur la rébellion armée ivoirienne ».
« Quand on a assumé une position de responsabilité, surtout dans de hautes fonctions, on doit savoir dire le mot qu’il faut. Parce qu’Il y a certains propos qui n’honorent pas certaines personnalités. Il faut véritablement que les uns et les autres se ressaisissent. On peut même penser souvent à des erreurs de casting à un moment donné de notre histoire», a réagi M. Touré à cette question.
Depuis février dernier, où il a démissionné de la présidence de l’Assemblée nationale ivoirienne pour « divergence d’opinion» avec le président Alassane Ouattara, M. Soro a rejoint l’opposition ivoirienne.
L’ancien chef de l’institution parlementaire ivoirienne qui a déclaré sa candidature pour la présidentielle de 2020, est à la rencontre de ses partisans tant en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur.
Lors de ces échanges avec ces derniers ( ses partisans », M. Soro tance souvent vertement ses « anciens amis» du camp présidentiel avec parfois des révélations sans s’attaquer directement au président Alassane Ouattara pour qui il dit continuer de garder « beaucoup de respect au plan humain et personnel» malgré la rupture politique.
LB/ls
M. Touré s’exprimait dans une conférence de presse au terme d’un Conseil des ministres présidé au palais présidentiel d’Abidjan par le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara. Le porte-voix de l’exécutif ivoirien répondait à la préoccupation d’un journaliste qui souhaitait avoir la position du gouvernement ivoirien sur une affirmation de Kobenan Kouassi Adjoumani, le porte-parole du parti présidentiel (RHDP, Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix) qui a indiqué dans une interview que « Guillaume Soro pourrait être invité à apporter des éclaircis sur la rébellion armée ivoirienne ».
« Quand on a assumé une position de responsabilité, surtout dans de hautes fonctions, on doit savoir dire le mot qu’il faut. Parce qu’Il y a certains propos qui n’honorent pas certaines personnalités. Il faut véritablement que les uns et les autres se ressaisissent. On peut même penser souvent à des erreurs de casting à un moment donné de notre histoire», a réagi M. Touré à cette question.
Depuis février dernier, où il a démissionné de la présidence de l’Assemblée nationale ivoirienne pour « divergence d’opinion» avec le président Alassane Ouattara, M. Soro a rejoint l’opposition ivoirienne.
L’ancien chef de l’institution parlementaire ivoirienne qui a déclaré sa candidature pour la présidentielle de 2020, est à la rencontre de ses partisans tant en Côte d’Ivoire qu’à l’extérieur.
Lors de ces échanges avec ces derniers ( ses partisans », M. Soro tance souvent vertement ses « anciens amis» du camp présidentiel avec parfois des révélations sans s’attaquer directement au président Alassane Ouattara pour qui il dit continuer de garder « beaucoup de respect au plan humain et personnel» malgré la rupture politique.
LB/ls