Yamoussoukro – La commission des affaires économiques et financières du Sénat a adopté lundi le projet de loi portant ratification de l’ordonnance relative à la concurrence.
Cette loi entend protéger le consommateur ivoirien notamment contre les augmentations abusives des prix des denrées de grande consommation pour diverses raisons.
« Désormais l’Etat de Côte d’Ivoire peut prendre des initiatives lorsqu’il y a des constats de spéculations sous toutes ses formes. Après avis de la commission de la concurrence il peut prendre des décisions de plafonnement, d’homologation des prix pour mieux protéger le pouvoir d’achat des consommateurs et également pour permettre que la concurrence soit saine entre les opérateurs économiques », a expliqué le ministre du commerce Souleymane Diarassouba.
Cette nouvelle loi donne la possibilité aux opérateurs du secteur privé de prendre des initiatives « en liaison avec l’Etat » pour plafonner les prix des produits de grande consommation « après avis de la commission de la concurrence et pour une durée limitée ».
Le nouveau dispositif légal reformule par ailleurs la dénomination de la commission de la concurrence et de la lutte contre la vie chère qui devient désormais commission de la concurrence, ce « pour éviter la confusion avec le conseil national de lutte contre la vie chère et se conformer au dispositif communautaire », a souligné le ministre du commerce.
gso/ask
Cette loi entend protéger le consommateur ivoirien notamment contre les augmentations abusives des prix des denrées de grande consommation pour diverses raisons.
« Désormais l’Etat de Côte d’Ivoire peut prendre des initiatives lorsqu’il y a des constats de spéculations sous toutes ses formes. Après avis de la commission de la concurrence il peut prendre des décisions de plafonnement, d’homologation des prix pour mieux protéger le pouvoir d’achat des consommateurs et également pour permettre que la concurrence soit saine entre les opérateurs économiques », a expliqué le ministre du commerce Souleymane Diarassouba.
Cette nouvelle loi donne la possibilité aux opérateurs du secteur privé de prendre des initiatives « en liaison avec l’Etat » pour plafonner les prix des produits de grande consommation « après avis de la commission de la concurrence et pour une durée limitée ».
Le nouveau dispositif légal reformule par ailleurs la dénomination de la commission de la concurrence et de la lutte contre la vie chère qui devient désormais commission de la concurrence, ce « pour éviter la confusion avec le conseil national de lutte contre la vie chère et se conformer au dispositif communautaire », a souligné le ministre du commerce.
gso/ask