Abidjan - Le centre ivoirien de l’innovation et de technologie de l’anacarde, situé à Yamoussoukro, sera inauguré dans les jours à venir, en vue de former et éduquer les acteurs de la filière.
L’information a été livrée par le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde, Dr Adama Coulibaly, lors d’un entretien avec l’AIP, en marge de la cinquième édition du Salon international de l'agriculture et de ressources animales d'Abidjan (SARA).
Selon lui, la création du centre de l’innovation et des technologies de l’anacarde, basé à Yamoussoukro, qui sera une usine école, est un endroit où des industriels, des porteurs de projet, des travailleurs pourront se faire former et développer toute initiative pour soutenir l’industrie de l’anacarde.
«Nous voulons que ce centre soit la vitrine de notre action de soutien à l’anacarde », a situé le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde, Dr Coulibaly.
Poursuivant, il a expliqué que pour devenir un transformateur dans la filière anacarde en Côte d’ivoire, il faudrait avoir un agrément annuel auprès du commissaire de contrôle de l’anacarde, dans le but de contrôler et réguler l’ensemble des acteurs.
Dressant un bref bilan des deux filières gérées par son Institution, le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde s'est félicité de ce que le coton, en 2011, estimé à quelque 120 000 tonnes, a atteint 468 000 tonnes en 2019, alors que l'anacarde est passée de 480 000 tonnes à plus de 700 000 tonnes en 2019.
Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, la Côte d’Ivoire possède 10% du volume de la transformation mondiale.
tg/kam
L’information a été livrée par le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde, Dr Adama Coulibaly, lors d’un entretien avec l’AIP, en marge de la cinquième édition du Salon international de l'agriculture et de ressources animales d'Abidjan (SARA).
Selon lui, la création du centre de l’innovation et des technologies de l’anacarde, basé à Yamoussoukro, qui sera une usine école, est un endroit où des industriels, des porteurs de projet, des travailleurs pourront se faire former et développer toute initiative pour soutenir l’industrie de l’anacarde.
«Nous voulons que ce centre soit la vitrine de notre action de soutien à l’anacarde », a situé le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde, Dr Coulibaly.
Poursuivant, il a expliqué que pour devenir un transformateur dans la filière anacarde en Côte d’ivoire, il faudrait avoir un agrément annuel auprès du commissaire de contrôle de l’anacarde, dans le but de contrôler et réguler l’ensemble des acteurs.
Dressant un bref bilan des deux filières gérées par son Institution, le directeur général du Conseil du Coton et de l’anacarde s'est félicité de ce que le coton, en 2011, estimé à quelque 120 000 tonnes, a atteint 468 000 tonnes en 2019, alors que l'anacarde est passée de 480 000 tonnes à plus de 700 000 tonnes en 2019.
Après le Vietnam, l’Inde et le Brésil, la Côte d’Ivoire possède 10% du volume de la transformation mondiale.
tg/kam