On s’achemine vers une accalmie dans la crise qui oppose une partie des afficheurs au ministre de la communication et des médias. C’est ce qui ressort de la rencontre entre les deux parties jeudi, à la salle de la Conférence du Cabinet du Ministre de la Communication et des Médias. On retiendra que Sidi Touré et les afficheurs ont décidé de jeter les bases d’une nouvelle collaboration.
” Il est important de comprendre qu’en tant que représentant de l’Etat, il est de notre responsabilité de garantir la pratique d’une publicité loyale, saine, équitable et respectueuse des dispositions en vigueur”, a déclaré M. Touré, soulignant que l’Etat n’a aucun intérêt à empêcher les afficheurs d’exercer leur activité.
Cet impératif gouvernemental contribue au bien-être des entreprises. ” C’est à ce prix que vos entreprises pourront prospérer dans un environnement sain”, a-t-il soutenu.
M. Sidi s’engage, également, à améliorer sa collaboration avec les collectivités territoriales pour mettre fin au dysfonctionnement constaté dans la procédure de validation des implantations des dispositifs publicitaires.
A l’analyse du bilan 2019 des actions réalisées, l’on note l’adoption de la loi portant régime juridique de la communication publicitaire par l’Assemblée nationale, l’acquisition au profit du Conseil supérieur de la publicité (CSP) d’une salle de pige multimédia moderne pour le contrôle efficient des messages publicitaires et la création de la Brigade de la Communication Publicitaire.
Selon le président de la Chambre des afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI), Mahama Coulibaly, les afficheurs n’ont jamais été contre l’assainissement. ” Nous voulons que les choses se passent en tenant compte de notre avis pour ne pas mettre à mal nos entreprises et activités”, a-t-il soutenu.
Il a salué les dispositions de collaboration du ministre Sidi Touré “pour pouvoir faire participer tous les acteurs à l’assainissement de l’environnement publicitaire”.
Source AIP
” Il est important de comprendre qu’en tant que représentant de l’Etat, il est de notre responsabilité de garantir la pratique d’une publicité loyale, saine, équitable et respectueuse des dispositions en vigueur”, a déclaré M. Touré, soulignant que l’Etat n’a aucun intérêt à empêcher les afficheurs d’exercer leur activité.
Cet impératif gouvernemental contribue au bien-être des entreprises. ” C’est à ce prix que vos entreprises pourront prospérer dans un environnement sain”, a-t-il soutenu.
M. Sidi s’engage, également, à améliorer sa collaboration avec les collectivités territoriales pour mettre fin au dysfonctionnement constaté dans la procédure de validation des implantations des dispositifs publicitaires.
A l’analyse du bilan 2019 des actions réalisées, l’on note l’adoption de la loi portant régime juridique de la communication publicitaire par l’Assemblée nationale, l’acquisition au profit du Conseil supérieur de la publicité (CSP) d’une salle de pige multimédia moderne pour le contrôle efficient des messages publicitaires et la création de la Brigade de la Communication Publicitaire.
Selon le président de la Chambre des afficheurs de Côte d’Ivoire (CAFCI), Mahama Coulibaly, les afficheurs n’ont jamais été contre l’assainissement. ” Nous voulons que les choses se passent en tenant compte de notre avis pour ne pas mettre à mal nos entreprises et activités”, a-t-il soutenu.
Il a salué les dispositions de collaboration du ministre Sidi Touré “pour pouvoir faire participer tous les acteurs à l’assainissement de l’environnement publicitaire”.
Source AIP