Le dossier de validation des mosquées de style soudanais de côte d’Ivoire au patrimoine mondial de l’UNESCO est en bonne voie. Les experts du patrimoine culturel qui travaillent sur le dossier, les directeurs régionaux de la culture et de la francophonie et les représentants du conseil supérieur des imams, des mosquées et des affaires islamiques en Côte d’Ivoire se sont retrouvés ce jeudi 16 janvier 2020 pour peaufiner et finaliser le dossier à remettre à l’UNESCO avant le 30 janvier, date butoir.
Au cours de cette rencontre qui s’est tenue au siège de l’Office Ivoirien du Patrimoine Culturel (OIPC) à Codody, son directeur général, Aka Konin, a d’entrée salué la spontanéité des parties prenantes à ce projet d’intérêt national. Il les a par ailleurs invités à faire des amendements et propositions constructives pour le respect du délai.
A terme, ces huit (8) mosquées de style soudanais sur une vingtaine situées dans la partie nord du pays seront classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Dans son intervention, Fernand Sekongo, conseiller technique en charge du patrimoine, représentant le ministre de la culture et de la francophonie est revenu sur les motivations du choix de ces édifices. « Ces mosquées ont été choisies parce que ce sont des œuvres d’arts, aussi pour leurs valeurs historiques, culturelles et spirituelles ainsi que pour le savoir faire technologique ».
Le comité qui s’est réuni ce jour est quasiment le même qui a travaillé sur le cas de la ville historique de Grand-Bassam validée par l’UNESCO. Il y’a donc de forte chance pour le cas des mosquées de style soudanais.
En les inscrivant au patrimoine mondial de l’UNESCO, ces édifices uniques gagneront en notoriété, avec la croissance de touristes qui les visiteront avec forcément un impact positif sur l’économie du pays.
Cyprien K.
Au cours de cette rencontre qui s’est tenue au siège de l’Office Ivoirien du Patrimoine Culturel (OIPC) à Codody, son directeur général, Aka Konin, a d’entrée salué la spontanéité des parties prenantes à ce projet d’intérêt national. Il les a par ailleurs invités à faire des amendements et propositions constructives pour le respect du délai.
A terme, ces huit (8) mosquées de style soudanais sur une vingtaine situées dans la partie nord du pays seront classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Dans son intervention, Fernand Sekongo, conseiller technique en charge du patrimoine, représentant le ministre de la culture et de la francophonie est revenu sur les motivations du choix de ces édifices. « Ces mosquées ont été choisies parce que ce sont des œuvres d’arts, aussi pour leurs valeurs historiques, culturelles et spirituelles ainsi que pour le savoir faire technologique ».
Le comité qui s’est réuni ce jour est quasiment le même qui a travaillé sur le cas de la ville historique de Grand-Bassam validée par l’UNESCO. Il y’a donc de forte chance pour le cas des mosquées de style soudanais.
En les inscrivant au patrimoine mondial de l’UNESCO, ces édifices uniques gagneront en notoriété, avec la croissance de touristes qui les visiteront avec forcément un impact positif sur l’économie du pays.
Cyprien K.