Quelques vingt-six gamers ( joueurs) africains et européens, lauréats de la troisième édition du festival de l’électronique et des jeux vidéo d’Afrique ( FEJA), l’un des plus grands rendez-vous de jeux électroniques en Afrique qui s’est tenu en novembre dernier à Abidjan, ont été récompensés samedi dans la capitale économique ivoirienne, a constaté APA sur place.
Cinq tournois majeurs avec 3 lauréats chacun (à l’exception d’une compétition qui a eu six lauréats) et huit autres compétitions diverses avec huit vainqueurs chacune, ont meublé ce festival qui a vu la participation de plus de 2000 gamers professionnels et amateurs et réuni plus de 30 000 visiteurs.
Les lauréats sont répartis avec des lots divers et des enveloppes d’un montant allant de 250 000 FCFA à 1000 000 FCFA.
« Quand on parle du jeu vidéo certaines personnes ont tendance à dire que c’est pour les enfants, alors qu’aujourd’hui le jeu vidéo est en train de devenir quelque chose d’important. Le jeu vidéo est aujourd’hui la première industrie culturelle au monde. Donc ça veut dire qu’elle génère aujourd’hui plus d’argent que le cinéma et la musique », a dit à APA Sidick Bakayoko, le directeur général de Paradise Game, la structure promotrice de l’événement.
Selon lui, le « gros succès » de cette troisième édition de ce festival a été son internationalisation avec des gamers venus non seulement d’Afrique, mais aussi d’Europe.
Pour lui, la filière des jeux vidéo est aujourd’hui une « véritable révolution » qui créé selon lui, une cinquantaine de corps de métiers. Plusieurs tournois dont le « Tekken7» , « PES 2020» et « Fortnite» étaient au menu de cette troisième édition du FEJA qui s’est tenue à Abidjan du 22 au 24 novembre dernier autour du thème : « quel écosystème pour favoriser la création des jeux vidéo africains ? ».
Lancé pour la première fois en 2017, le FEJA est une plateforme qui vise à promouvoir l’industrie des jeux électroniques et vidéo et offrir une vitrine aux jeunes africains afin de challenger d’autres champions à l’international, tout en ouvrant une fenêtre aux développeurs dans l’optique d’inventer des jeux électroniques.
LB/ls/APA
Cinq tournois majeurs avec 3 lauréats chacun (à l’exception d’une compétition qui a eu six lauréats) et huit autres compétitions diverses avec huit vainqueurs chacune, ont meublé ce festival qui a vu la participation de plus de 2000 gamers professionnels et amateurs et réuni plus de 30 000 visiteurs.
Les lauréats sont répartis avec des lots divers et des enveloppes d’un montant allant de 250 000 FCFA à 1000 000 FCFA.
« Quand on parle du jeu vidéo certaines personnes ont tendance à dire que c’est pour les enfants, alors qu’aujourd’hui le jeu vidéo est en train de devenir quelque chose d’important. Le jeu vidéo est aujourd’hui la première industrie culturelle au monde. Donc ça veut dire qu’elle génère aujourd’hui plus d’argent que le cinéma et la musique », a dit à APA Sidick Bakayoko, le directeur général de Paradise Game, la structure promotrice de l’événement.
Selon lui, le « gros succès » de cette troisième édition de ce festival a été son internationalisation avec des gamers venus non seulement d’Afrique, mais aussi d’Europe.
Pour lui, la filière des jeux vidéo est aujourd’hui une « véritable révolution » qui créé selon lui, une cinquantaine de corps de métiers. Plusieurs tournois dont le « Tekken7» , « PES 2020» et « Fortnite» étaient au menu de cette troisième édition du FEJA qui s’est tenue à Abidjan du 22 au 24 novembre dernier autour du thème : « quel écosystème pour favoriser la création des jeux vidéo africains ? ».
Lancé pour la première fois en 2017, le FEJA est une plateforme qui vise à promouvoir l’industrie des jeux électroniques et vidéo et offrir une vitrine aux jeunes africains afin de challenger d’autres champions à l’international, tout en ouvrant une fenêtre aux développeurs dans l’optique d’inventer des jeux électroniques.
LB/ls/APA