Le concours d’essai littéraire, initié en septembre 2019 pour sensibiliser à la paix à l’approche des élections présidentielles de 2020, a livré ses résultats. Ce sont quatre lauréats qui ont été distingués, et qui vont recevoir pour bientôt leurs prix. Il s’agit de Yao N’guessan, ensignant chercheur à l’Ufr Langues, Littératures et Civilisations de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan Cocody, qui va recevoir la somme d’un million de francs Cfa des intiateurs de ce concours.
Dr Yao N’guessan a produit un texte intitulé ‘’Au fond de nous-mêmes’’, un poème sur la situation de la Côte d’Ivoire, présenté comme un hymne au vivre ensemble, qui a capté l’attention du jury.
Juste après lui, Annick Kouakou, Assistante programme dans une Organisation Non Gouvernementale locale, empochera la coquette somme de 600.000 f cfa. Elle recevra le deuxième pris avec ‘’cri d’une femme qui veut la paix’’. Un texte, qui est un cri du cœur, une satyre de lassitude et d’espoir faisant d’elle une porte-voix de la société ivoirienne, dont elle aura saisi l’instant d’un concours pour l’illustrer.
Le troisième et dernier prix ne sera pas le gain d’un seul individu, mais bien de deux lauréats en ex-aequo. Issiaka Diakité-Kaba et Guy-Charles Ahondjo, respectivement avec leurs productions intitulées ‘’La feuille ne pourrit pas le jour de sa chute dans l’eau’’ et ‘’Comment je pense la Côte d’Ivoire’’, vont se partager la somme de 400.000 f Cfa prévue pour le dernier prix.
Ces candidats ont produit des textes de longueur comprise entre 1000 et 2000 mots. Le concours ouvert jusqu’au 20 novembre 2019, le jury composé d’éminentes personnalités des médias et des lettres, a rendu son verdict en tenant compte des analyses constructives, non partisanes et riches de propositions respectueuses des différences en Côte d’Ivoire.
Les lauréats seront primés à Abidjan à une date non encore définie par l’organisation.
F.D.B
Dr Yao N’guessan a produit un texte intitulé ‘’Au fond de nous-mêmes’’, un poème sur la situation de la Côte d’Ivoire, présenté comme un hymne au vivre ensemble, qui a capté l’attention du jury.
Juste après lui, Annick Kouakou, Assistante programme dans une Organisation Non Gouvernementale locale, empochera la coquette somme de 600.000 f cfa. Elle recevra le deuxième pris avec ‘’cri d’une femme qui veut la paix’’. Un texte, qui est un cri du cœur, une satyre de lassitude et d’espoir faisant d’elle une porte-voix de la société ivoirienne, dont elle aura saisi l’instant d’un concours pour l’illustrer.
Le troisième et dernier prix ne sera pas le gain d’un seul individu, mais bien de deux lauréats en ex-aequo. Issiaka Diakité-Kaba et Guy-Charles Ahondjo, respectivement avec leurs productions intitulées ‘’La feuille ne pourrit pas le jour de sa chute dans l’eau’’ et ‘’Comment je pense la Côte d’Ivoire’’, vont se partager la somme de 400.000 f Cfa prévue pour le dernier prix.
Ces candidats ont produit des textes de longueur comprise entre 1000 et 2000 mots. Le concours ouvert jusqu’au 20 novembre 2019, le jury composé d’éminentes personnalités des médias et des lettres, a rendu son verdict en tenant compte des analyses constructives, non partisanes et riches de propositions respectueuses des différences en Côte d’Ivoire.
Les lauréats seront primés à Abidjan à une date non encore définie par l’organisation.
F.D.B
