Abidjan – La capitale économique ivoirienne abrite, ce mercredi, une réunion du Groupe des partenaires du programme École numérique d’Excellence africaine (ENEA) au siège de la Banque africaine de développement (BAD) d’Abidjan-Plateau.
Le programme ENEA se déroule de janvier 2016 à décembre 2020 au Kenya et en Tanzanie. En Côte d’Ivoire, il se déroule sur la période allant d’avril 2017 à mars 2020. Le programme est prévu monter en puissance pour couvrir toutes les dimensions du système éducatif dans ses phases pilote et de pré-échelle.
A à un niveau géographique, il cible 1 400 enseignants STEM, 140 chefs d’établissements et coordinateurs scolaires qui seront formés dans 140 écoles afin de toucher près de 70 000 élèves (dans trois pays : Kenya, Tanzanie et Côte d’Ivoire).
Sur le plan institutionnel, il vise la participation du gouvernement au niveau national (TIC, curriculum, formation des enseignants, instituts de développement et d’évaluation, départements et ministères) et local (écoles, communautés, directions départementales et régionales) dans l’élaboration et la mise en œuvre du projet (y compris le suivi, l’évaluation et l’apprentissage).
Contrairement à la Tanzanie et au Kenya, le projet ENEA en Côte d’Ivoire, développé en collaboration avec le ministère en charge de l’éducation, était prévu à l’origine comme pilote de deux ans pour susciter l’intérêt d’autres partenaires pour ses modèles et outils. Une grève d’enseignants a suspendu son déroulement pendant quelques mois. Le départ du coordinateur national, appelé à d’autres fonctions, a également fait perdre du temps au projet.
Alors avec l’accord du principal bailleur, Mastercard Foundation, la période de mise en œuvre du projet a été rallongée de six mois.
La quarantaine de participants au conclave d’Abidjan est appelée à passer en revue les leçons apprises et les recommandations politiques issues de la mise en œuvre du projet ENEA de pré-échelle et pilote, identifier les éléments durables du programme ENEA et définir les stratégies d’intégration qui peuvent être transposées dans les politiques nationales sur la base de ces éléments.
Il s’agira enfin d’identifier d’éventuels partenaires pour prolonger le projet pilote ENEA de 12 mois supplémentaires pour terminer le dernier cycle, celui des modèles de développement des enseignants et de toute l’école, tout en poursuivant la recherche et évaluation d’impact en cours.
aaa/kam
Le programme ENEA se déroule de janvier 2016 à décembre 2020 au Kenya et en Tanzanie. En Côte d’Ivoire, il se déroule sur la période allant d’avril 2017 à mars 2020. Le programme est prévu monter en puissance pour couvrir toutes les dimensions du système éducatif dans ses phases pilote et de pré-échelle.
A à un niveau géographique, il cible 1 400 enseignants STEM, 140 chefs d’établissements et coordinateurs scolaires qui seront formés dans 140 écoles afin de toucher près de 70 000 élèves (dans trois pays : Kenya, Tanzanie et Côte d’Ivoire).
Sur le plan institutionnel, il vise la participation du gouvernement au niveau national (TIC, curriculum, formation des enseignants, instituts de développement et d’évaluation, départements et ministères) et local (écoles, communautés, directions départementales et régionales) dans l’élaboration et la mise en œuvre du projet (y compris le suivi, l’évaluation et l’apprentissage).
Contrairement à la Tanzanie et au Kenya, le projet ENEA en Côte d’Ivoire, développé en collaboration avec le ministère en charge de l’éducation, était prévu à l’origine comme pilote de deux ans pour susciter l’intérêt d’autres partenaires pour ses modèles et outils. Une grève d’enseignants a suspendu son déroulement pendant quelques mois. Le départ du coordinateur national, appelé à d’autres fonctions, a également fait perdre du temps au projet.
Alors avec l’accord du principal bailleur, Mastercard Foundation, la période de mise en œuvre du projet a été rallongée de six mois.
La quarantaine de participants au conclave d’Abidjan est appelée à passer en revue les leçons apprises et les recommandations politiques issues de la mise en œuvre du projet ENEA de pré-échelle et pilote, identifier les éléments durables du programme ENEA et définir les stratégies d’intégration qui peuvent être transposées dans les politiques nationales sur la base de ces éléments.
Il s’agira enfin d’identifier d’éventuels partenaires pour prolonger le projet pilote ENEA de 12 mois supplémentaires pour terminer le dernier cycle, celui des modèles de développement des enseignants et de toute l’école, tout en poursuivant la recherche et évaluation d’impact en cours.
aaa/kam
