Le projet de RITER (Réseau de télécommunication pour l’enseignement et la recherche) vise à développer le service WIFI pour toutes les universités et grandes écoles publiques, et le rendre opérationnel à l’horizon 2022.
Pour lui donner un coup d’accélérateur, un atelier de validation des termes de référence dudit projet pour son opérationnalisation effective en 2022, s’est déroulé ce mardi 4 février à l’Ecole nationale de statistique et d’économie appliquée (ENSEA).
Une occasion pour les initiateurs de ce projet, notamment l’Ambassade de France, le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) et toutes les parties prenantes, avant le démarrage du projet, de communiquer auprès des utilisateurs directs du RITER.
Cette rencontre devra permettre de susciter l’adhésion de la population ivoirienne, autour de ce projet dont la mise en œuvre va modifier fondamentalement les pratiques pédagogiques dans l’espace universitaire ivoirien.
Selon Dr Abdou Maïga, Directeur des systèmes d’information (DSI) au MESRS, l’objectif à terme, c’est de connecter 100 000 utilisateurs par le WIFI RITER par la réalisation de ce projet d’un coût de 1,800 millions d’euros, qui est en attente du financement de l’AFD (Agence française de développement).
Il a révélé que les démarches du projet de RITER ont démarré en 2012 par l’interconnexion des universités. En 2018, cela a donné lieu à un déploiement massif des bornes WIFI dans les universités et la distribution de ports réseaux pour les enseignants.
Dans cette optique que, selon le DSI, cet atelier a mis en exergue toutes les dimensions de l’opérationnalisation du RITER-2022 telles que la mise en place d’une gestion des comptes des utilisateurs qui accéderont au service WIFI pour toutes les universités et grandes écoles.
Il y a aussi la mise à niveau du datacenter de l’UFHB (Université Félix Houphouët-Boigny), véritable goulot d’étranglement du déploiement du WIFI sur tous les campus universitaires.
Il va falloir également renforcer les capacités opérationnelles du RITER par sa connexion au Réseau d’éducation et recherche de l’Afrique de l’ouest et du centre (WACREN), lui conférant ainsi une dimension régionale, avant de finaliser l’infrastructure WIFI.
JOB
Pour lui donner un coup d’accélérateur, un atelier de validation des termes de référence dudit projet pour son opérationnalisation effective en 2022, s’est déroulé ce mardi 4 février à l’Ecole nationale de statistique et d’économie appliquée (ENSEA).
Une occasion pour les initiateurs de ce projet, notamment l’Ambassade de France, le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) et toutes les parties prenantes, avant le démarrage du projet, de communiquer auprès des utilisateurs directs du RITER.
Cette rencontre devra permettre de susciter l’adhésion de la population ivoirienne, autour de ce projet dont la mise en œuvre va modifier fondamentalement les pratiques pédagogiques dans l’espace universitaire ivoirien.
Selon Dr Abdou Maïga, Directeur des systèmes d’information (DSI) au MESRS, l’objectif à terme, c’est de connecter 100 000 utilisateurs par le WIFI RITER par la réalisation de ce projet d’un coût de 1,800 millions d’euros, qui est en attente du financement de l’AFD (Agence française de développement).
Il a révélé que les démarches du projet de RITER ont démarré en 2012 par l’interconnexion des universités. En 2018, cela a donné lieu à un déploiement massif des bornes WIFI dans les universités et la distribution de ports réseaux pour les enseignants.
Dans cette optique que, selon le DSI, cet atelier a mis en exergue toutes les dimensions de l’opérationnalisation du RITER-2022 telles que la mise en place d’une gestion des comptes des utilisateurs qui accéderont au service WIFI pour toutes les universités et grandes écoles.
Il y a aussi la mise à niveau du datacenter de l’UFHB (Université Félix Houphouët-Boigny), véritable goulot d’étranglement du déploiement du WIFI sur tous les campus universitaires.
Il va falloir également renforcer les capacités opérationnelles du RITER par sa connexion au Réseau d’éducation et recherche de l’Afrique de l’ouest et du centre (WACREN), lui conférant ainsi une dimension régionale, avant de finaliser l’infrastructure WIFI.
JOB