Abidjan - La Chine a remis, mardi, un bâtiment réhabilité, des équipements de bureau et du matériels de laboratoire au Centre de recherche et de lutte contre le Paludisme (CRLP), au cours d'une cérémonie présidée par le ministre de la Santé et de l’hygiène publique, Dr Aka Aouélé Eugène à l'Institut national de la Santé publique.
Ce lot de don d'une valeur de 180 millions F CFA est une contribution à la prévention et au contrôle du paludisme en Côte d'Ivoire et à l’amélioration de la santé des populations ivoirienne, a fait savoir l’ambassadeur de la Chine, Wan Li.
Cette cérémonie a été marquée par la signature de l’acte de remise-réception entre l’ambassadeur Li et le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Aka Aouélé.
M. Aouélé a remercié la Chine pour cet important don qui s’inscrit dans la coopération bilatérale et constitue l’opportunité tant attendue pour renforcer le combat contre le paludisme.
«Les stratégies du lutte contre le paludisme influeront désormais le volet recherche pour une meilleure potentialisation des indicateurs de processus et de résultats afin d’atteindre l’élimination du paludisme d'ici 2030», a-t-il déclaré.
La prévalence hospitalière au niveau du paludisme est passée de 44% en 2012 à 33% en fin 2016 soit une réduction de 12 points en quatre ans. Le nombre de décès est passé de 4404 cas en 2015 à 3013 cas en 2018, signale-t-on.
Selon le rapport de l’Organisation mondiale de la santé(OMS), la mortalité liée au paludisme a connu une réduction de 3% entre 2017 et 2019.
bsb/kam
Ce lot de don d'une valeur de 180 millions F CFA est une contribution à la prévention et au contrôle du paludisme en Côte d'Ivoire et à l’amélioration de la santé des populations ivoirienne, a fait savoir l’ambassadeur de la Chine, Wan Li.
Cette cérémonie a été marquée par la signature de l’acte de remise-réception entre l’ambassadeur Li et le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Aka Aouélé.
M. Aouélé a remercié la Chine pour cet important don qui s’inscrit dans la coopération bilatérale et constitue l’opportunité tant attendue pour renforcer le combat contre le paludisme.
«Les stratégies du lutte contre le paludisme influeront désormais le volet recherche pour une meilleure potentialisation des indicateurs de processus et de résultats afin d’atteindre l’élimination du paludisme d'ici 2030», a-t-il déclaré.
La prévalence hospitalière au niveau du paludisme est passée de 44% en 2012 à 33% en fin 2016 soit une réduction de 12 points en quatre ans. Le nombre de décès est passé de 4404 cas en 2015 à 3013 cas en 2018, signale-t-on.
Selon le rapport de l’Organisation mondiale de la santé(OMS), la mortalité liée au paludisme a connu une réduction de 3% entre 2017 et 2019.
bsb/kam